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mardi 29 novembre 2011

November 29, 1947: the international mafia at work ; the rape of Palestine! 29 Novembre 1947 : comment on vola la terre des Palestiniens. 29 ноября 1947: международная мафия на работе; изнасилование Палестине!


Memento


29 novembre 1947 : dépeçage de la Palestine ou le jour où l'ONU commit un crime contre le droit des peuples.

November 29, 1947dismemberment of Palestine or the day the UN committed a crime against the law of nations.

نوفمبر 1947 : تقطيع أوصال فلسطين أو في اليوم للأمم المتحدة ارتكب جريمة ضد قانون الأمم.

29 nov 1947: o desmembramento da Palestina ou no dia a ONU cometeu um crimecontra os direitos das nações.

29 ноября 1947расчленение Палестине или в день ООН совершил преступление против права наций.

29 नवंबर, 1947फ़िलिस्तीन का बंटवारा या दिन संयुक्त राष्ट्र राष्ट्रों के अधिकारों के खिलाफ एक अपराध है.





Mementothe composition of the UN in 1947; details of the vote on resolution 1981. La composition de l'ONU en 1947 ; détail du vote de la résolution 1981 :


In favour: 33
Australia, Belgium, Bolivia, Brazil, Byelorussian S.S.R., Canada, Costa Rica, Czechoslovakia, Denmark, Dominican Republic, Ecuador, France, Guatemala, Haiti, Iceland, Liberia, Luxemburg, Netherlands, New Zealand, Nicaragua, Norway, Panama, Paraguay, Peru, Philippines, Poland, Sweden, Ukrainian S.S.R., Union of South Africa, U.S.A., U.S.S.R., Uruguay, Venezuela.

Against: 13
Afghanistan, Cuba, Egypt, Greece, India, Iran, Iraq, Lebanon, Pakistan, Saudi Arabia, Syria, Turkey, Yemen.

Abstention: 10
Argentina, Chile, China, Colombia, El Salvador, Ethiopia, Honduras, Mexico, United Kingdom, Yugoslavia.


Question : de quel droit les 33 pays proposant la partition de la Palestine disposaient-ils pour décider à ce point de l'avenir d'un territoire étranger ?

Réponse : aucun ! L'ONU n'avait en 1947 - et ne l'aurait pas plus aujourd'hui - aucune compétence pour disposer d'un territoire dont elle n'était et ne pouvait pas être la propriétaire, et ce d'autant plus que les principaux intéressés, les Palestiniens, n'ont à aucun moment eu voix au chapitre !

Ce qui va avoir une conséquence fort simple : la résolution 181 portant création de l'Etat d'Israël sur des terres palestiniennes est nulle et non avenue.

Voilà ce que les nations libres, c'est-à-dire non alignées sur la mafia internationale à l'origine de cette partition de la Palestine devraient pouvoir entériner dans le cadre d'une nouvelle organisation internationale indépendante de l'ONU, que nous appelons de tous nos voeux.

Question: what gave the 33 countries proposing the partition of Palestine in 1947 the right to decide on the fate of that country?

Answer: nothing gave them that right! The UN had not got in 1947 - and would no longer have today - any power to dispose of a territory which was owned by others: the main concerned people, the Palestinians having got no say in the matter!

And the result of that is very simple: Resolution 181 establishing the State of Israel on Palestinian soil is null and void.

That's what free nations, that is to say, not aligned with the international mafia responsible of the partition of Palestine should be able to endorse and state within the framework of a new and independent international organization (i.e. not depending on the UN) that we all hope and pray for it.



(About) The Myth of the U.N. Creation of Israel

There is a widely accepted belief that United Nations General Assembly Resolution 181 “created” Israel, based upon an understanding that this resolution partitioned Palestine or otherwise conferred legal authority or legitimacy to the declaration of the existence of the state of Israel. However, despite its popularity, this belief has no basis in fact, as a review of the resolution’s history and examination of legal principles demonstrates incontrovertibly. (…)

With an end to the Mandate and with British withdrawal, “there is no further obstacle to the conversion of Palestine into an independent state”, which “would be the logical culmination of the objectives of the Mandate” and the Covenant of the League of Nations. It found that “the General Assembly is not competent to recommend, still less to enforce, any solution other than the recognition of the independence of Palestine, and that the settlement of the future government of Palestine is a matter solely for the people of Palestine.” It concluded that “no further discussion of the Palestine problem seems to be necessary or appropriate, and this item should be struck off the agenda of the General Assembly”, but that if there was a dispute on that point, “it would be essential to obtain the advisory opinion of the International Court of Justice on this issue”, as had already been requested by several of the Arab states. It concluded further that the partition plan was “contrary to the principles of the Charter, and the United Nations have no power to give effect to it.” The U.N. could not deprive the majority of the people of Palestine of their territory and transfer it to the exclusive use of a minority in the country…. The United Nations Organization has no power to create a new State. Such a decision can only be taken by the free will of the people of the territories in question. That condition is not fulfilled in the case of the majority proposal, as it involves the establishment of a Jewish State in complete disregard of the wishes and interests of the Arabs of Palestine.


ll y a une croyance largement admise selon laquelle l'Assemblée générale des Nations Unies, via sa résolution 181, avait "créé" Israël, conformément à l'idée selon laquelle cette résolution avait scindé la Palestine ou sinon conféré une autorité légale ou une légitimité à la déclaration de l'existence de l'État d'Israël. Et pourtant, malgré sa popularité, cette croyance n'a aucun fondement réel, ainsi qu'on peut le démontrer sans contestation aucune après avoir examiné l'historique de la résolution ainsi que quelques principes juridiques. (...)

Avec la fin du mandat et le retrait britannique, "il n'y a plus d'obstacle à la conversion de la Palestine en un Etat indépendant", ce qui "serait l'aboutissement logique des objectifs du mandat" et du Pacte de la Société des Nations. Il s'ensuit que "l'Assemblée générale n'est pas compétente pour recommander, et encore moins appliquer toute solution autre que la reconnaissance de l'indépendance de la Palestine, et que le règlement du futur gouvernement de la Palestine est une question relevant uniquement de la compétence du peuple de Palestine." Il a conclu qu'"aucune discussion sur le problème palestinien ne semble être nécessaire ou appropriée, et que ce point devrait être rayé de l'ordre du jour de l'Assemblée générale", mais que s'il y avait un litige sur ce point, "il serait essentiel d'obtenir l'avis consultatif de la Cour internationale de Justice sur cette question", comme cela avait déjà été demandée par plusieurs Etats arabes. Il a conclu en outre que le plan de partition était "contraire aux principes de la Charte, et que les Nations Unies n'avaient aucun pouvoir pour donner effet à cette partition." L'ONU ne pouvait pas priver la majorité de la population de la Palestine de leur territoire et le transférer à l'usage exclusif d'une minorité dans le pays.... L'Organisation des Nations Unies n'a aucun pouvoir pour créer un nouvel État. Une telle décision ne peut être prise que par la volonté libre du peuple des territoires en question. Cette condition n'est pas remplie dans le cas de la proposition de la majorité (de l'Assemblée Générale), car elle implique l'établissement d'un Etat juif au mépris total des souhaits et des intérêts des Arabes de Palestine.

Jeremy R. Hammond


Voilà le genre de conclusion auquel on aboutit de manière quasi automatique quand on dispose ne serait-ce que d'un peu de culture juridique ! Et pourtant, voilà plus de six décennies que l'on prend l'opinion publique mondiale pour un ramassis de crétins !

Le fait est qu'en droit, l'Etat d'Israël n'existe pas !

Mais par ailleurs, Israël ne respecte pas les résolutions de l'ONU. Ça tombe bien : nous non plus !

This is the kind of conclusion to which you come almost automatically supposing that you have got a little legal culture! Yet, since more than six decades people are trying to take the world audience for a bunch of morons!

The fact is that the State of Israel legally does not exist!

By the way, Israel does not respect the UN resolutions at all. They're in luck: neither do we!



  1. Source: Jeremy R. Hammond's blog
  2. aubreyfarmer
    April 7, 2011 at 3:54 pm 
    Thank you Mr. Hammond for exposing Israel for the criminal state it is. For years I supported Israel because I did not know the truth. The only information available to me was the main stream media which unbeknown to me is entirely controlled by Zionists. My prayer is that enough people will learn the truth about Israel before the Zionists in America are successful in censoring net content or passing hate crime legislation that will make it illegal to tell the truth whenever it shines light on the filthy scoundrels that are the masters of organized crime and the murderers of innocent civilians.
  3. Merci M. Hammond de présenter Israël pour l'État criminel qu'il est. Pendant des années j'ai soutenu Israël parce que je ne connaissais pas la vérité. La seule information disponible pour moi était fournie par les médias de masse, qui se sont avérés être entièrement contrôlés par les sionistes. Je prie pour que suffisamment de gens apprennent la vérité sur Israël avant que les sionistes en Amérique ne parviennent à censurer le contenu du net ou ne fassent voter une législation pénale fondée sur la haine et qui rendra illégal le fait de dire la vérité même lorsque celle-ci se manifeste de la manière la plus éclatante pour confondre ces scélérats dont on sait qu'ils sont  les maîtres du crime organisé et des meurtriers de civils innocents.


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