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vendredi 18 octobre 2013

Retour sur un désir refoulé d'agression en Syrie


Alors, cette guerre en Syrie ?


Je connais quelques psychopathes, auxquels on donne du "Monsieur le Président", qui, à l'heure qu'il est, seraient réduits à l'état de poussière, si le ridicule tuait encore !

Dans les temps anciens, le samouraï qui avait subi un affront, et qui entendait restaurer son honneur et celui de son clan, s'ouvrait le ventre, commettant ce qu'on appelait et appelle encore un "hara kiri".

Il faut quand même savoir qu'en Japonais, "samouraï" veut dire "celui qui a des couilles". Enfin, c'est une interprétation toute personnelle.

Certains "monsieur le président" d'aujourd'hui, qui n'ont pas de couilles, sont donc à des années-lumière de se faire hara-kiri et font comme s'ils ne sortaient pas humiliés par la Russie et la Chine dans le psychodrame syrien.

Cela dit, ne nous faisons pas d'illusions : avec ces guignols, ce n'est que partie remise... À l'heure qu'il est, ils doivent déjà se demander ce qu'ils vont bien pouvoir inventer pour affaiblir voire attaquer l'Iran, un pays qui a ZÉRO soldat en terre étrangère et dont aucun missile ne s'est jamais abattu sur un territoire voisin, la seule guerre à laquelle le pays ait été mêlé lui ayant été imposée par un Iraq manipulé par les monarchies arabes et l'Occident.

Alors, nos "monsieur le président sans couilles" sont déjà en train de tenter de redorer leur blason terni par l'humiliation syrienne. Mais, entre nous, on ne voit pas très bien comment ils réussiraient avec l'os iranien ce qu'ils ont raté avec l'arête  syrienne.

Juste pour rire, vous savez ce qu'a déclaré ce pauvre apparatchik socialiste officiant en qualité de président  bonapartiste français qui se prend pour De Gaulle, à propos d'une campagne française de "punition" contre Bachar El Assad ?

Avant de répondre à la question, rappelons que, pour justifier sa politique d'agression contre la Syrie, le gouvernement français avait livré à ces godillots qu'on appelle des parlementaires des "preuves irréfutables" de l'utilisation de gaz sarin par les troupes de Bachar El Assad", preuves rapportées par les services secrets français. À partir de ce moment, c'était clair : la grande puissance qu'est la France allait punir le dictateur syrien.

Venons-en donc à la réponse à la question précédente : l'apparatchik terne et gris, qui se prend pour De Gaulle, nous a fait cette déclaration :

"Aucune décision ne sera prise avant la remise du rapport de l'ONU." (7 septembre 2013)

Entre nous, vous n'êtes pas mort(e)s de rire ?