Translate

jeudi 22 mars 2012

Mohamed Merah : un "client" bien providentiel !



Décidément, les "terroristes islamistes" ont le génie de contribuer à redorer le blason de leurs "pires ennemis", allant jusqu'à tout entreprendre pour leur faire gagner les élections ! Je me souviens notamment de Khaled Kelkal, tiré comme un lapin en pleine rue, ou encore de Charles Pasqua, ministre de l'Intérieur, bombant le torse après la fin de la prise d'otages d'un avion de ligne entre Alger et Marseille. Pensons encore au bénéfice tiré par George W. Bush des attaques du 11 septembre 2001.

Si les "islamistes" n'existaient pas, il faudrait certainement les inventer !

Vous voulez que je vous dise ? Ces meurtres de militaires et d'élèves et d'un enseignant d'une école juive à Toulouse ne m'inspiraient pas énormément. Parce qu'on ne peut pas avoir un avis sur tout, et encore moins être un expert en tout. Je dis ça tout à fait modestement, tout en constatant que, de nos jours, il est de bon ton d'avoir un avis sur tout, surtout en ces temps d'explosion de la libre parole, via l'Internet et autres Twitter (j'aime bien l'équivalent allemand du verbe "gazouiller" : "zwitschern" - prononcer 'tsvi-tchoeurn' ; c'est excellent pour exercer sa diction.). 

Trêve de plaisanteries. 

Vous aurez remarqué, en passant, que je n'ai toujours pas consacré la moindre ligne, ou à peu près, à l'affaire du Sofitel de New York ayant opposé le ci-devant directeur du FMI de l'époque à une femme de chambre (hormis une digression publicitaire, rapport à la sangle abdominale de Cristiano Ronaldo). Alors, des gens m'interpellent : "Dites donc, vous  qui avez un avis sur tout, comme c'est étrange que vous ne vous soyez pas exprimé sur l'affaire du Sofitel de New York.". Et là je leur fais observer que, précisément, c'est parce que je n'ai pas un avis sur tout que je me suis toujours abstenu de l'aborder sur mes blogs, même si j'ai mon opinion sur la chose.

- Ah bon ?, me rétorque-t-on immédiatement. Mais encore ?

- À la place de Strauss-Kahn, me trouvant dans l'obligation absolue de sauver ma peau (cf. l'arrestation et la menace de 74 années de prison), j'aurais affirmé, mordicus, avoir eu une relation tarifée avec la fille.

-  Parce que ça l'aurait définitivement tiré d'affaire ?

- Sur le plan pénal sans doute, en tout cas plus rapidement, mais sur le plan civil probablement aussi. Mais le plus important est ailleurs : l'opinion publique.

- Et alors ?

- Il aurait été très difficile à cette jeune africaine, qui a dû et doit encore tirer le diable par la queue, donc n'est pas très riche, de prouver qu'elle n'a pas succombé à la perspective de quelques paquets de dollars sur son compte bancaire ou sur le compte d'un(e) ami(e). Du coup, moi, Dominique S.K., j'instillais le doute dans l'esprit du public. Tandis que la thèse du rapport librement consenti entre adultes, à midi, l'heure du "coup de feu" dans tous les hôtels du monde, où le personnel est sur les dents, parce que les anciens clients partent, et qu'il faut préparer les chambres - ici une suite, donc une superficie importante - pour les clients suivants, le tout sur la base d'un "timing" serré, cette thèse, donc, qui insinuerait que Mlle Diallo n'aurait rien trouvé de plus intéressant - et urgent ! - à faire à ce moment-là, que de tailler une pipe à un "toubaab" pas si jeune ni si sexy que ça... Difficile à avaler (sans mauvais jeu de mots).

- Quel cynisme !

- C'est la vie qui est cynique ! Mais je précise que l'on avait affaire à quelqu'un qui devait absolument sauver sa peau ! En ravalant sa suffisance de "French Lover" auquel aucune femme ne résiste et en jouant, à la place,  la carte du rapport tarifé, Strauss-Kahn aurait semé le doute dans l'esprit des gens et mis le camp adverse en difficulté. Tandis que là, il va falloir qu'il s'accroche à cette théorie foireuse de fellation consentie. Par parenthèse, le terme "fellation" ne doit exister dans aucune langue africaine ! On ne mange pas de ce pain-là sous nos climats, hormis du côté des professionnelles du tapin, et Nafissatou Diallo n'en était visiblement pas une !


Mais nous reparlerons une autre fois de l'affaire Strauss-Kahn-Nafissatou Diallo, parce que, pour l'heure, j'étais parti pour évoquer cette série de meurtres commis, apparemment, par un franco-maghrébin affilié à Al Qaeda.

Rappelons, pour ceux qui ne le sauraient pas encore, que les Talibans (afghans) et leurs divers avatars internationaux (Al Qaeda) sont une création des services secrets occidentaux, afin de gêner l'occupation soviétique en Afghanistan. C'est un secret de Polichinelle.

Rappelons encore, qu'avant l'agression coloniale intervenue récemment en Libye, sous le couvert de l'ONU-OTAN, la branche africaine d'Al Qaeda (A.Q.M.I.) sévissait un peu partout entre Mauritanie et Egypte, à l'exception d'un pays précisément : la Libye. Il se trouve simplement que si un des émirs d'Al Qaeda, à savoir Abdelhakim Belhadj, a posé ses valises à Tripoli, c'est notoirement sous le parrainnage du syndicat ONU-OTAN, au sein duquel la France s'est montrée d'une efficacité certaine.

C'est dire si Al Qaeda, en tout cas sa branche africaine, avait toutes les raisons de dire "merci la France !".

Et j'ai déjà eu l'occasion d'écrire, ici et ailleurs - cela date de l'année dernière - que je m'attendais à assister à un retour d'ascenseur, voire à un retour tout court... Je veux parler des otages français au Niger. Et, là encore, au risque de me tromper, je vais réitérer ce que j'ai écrit naguère, à savoir que je ne serais même pas surpris si, d'aventure, on voyait débarquer ces otages dans un aéroport français, disons quoi...,  une ou deux semaines avant un scrutin présidentiel !?

Vous croyez que j'affabule ? Wait and see. Si je me trompe, je serais le premier à le reconnaître ICI !

C'est cela que je sous-entends par "retour d'ascenseur".

C'est dire si cette histoire d'un agent dormant d'Al Qaeda, s'en prenant à des soldats français, des compatriotes, voire des coreligionnaires, dans un premier temps, puis à des écoliers ensuite, ça me laisse perplexe.

Surtout lorsqu'on découvre que le bonhomme n'est qu'une petite frappe, abonnée au tribunal correctionnel pour larcins et délits en tous genres.

Mais comme je n'ai pas forcément un avis sur tout, je suis allé à la pêche sur les forums de discussion sur la toile, et j'ai déniché quelques prises de position intéressantes que je vous livre ci-dessous.





Vous avez tout compris ?

Nous voilà donc avec un soi-disant "terroriste" (de la mouvance salafiste, dixit Gilles Kepel, le "docteur ès islam radical" qui dégaine toujours plus vite que son ombre !) qui se connecte sur un site de petites annonces en livrant à la police l'adresse IP de l'ordinateur de... sa mère ! Alors qu'il y a plein de cybercafés !

Et le voilà qui va interroger un garagiste - qui le connaît apparemment depuis l'enfance - sur la marche à suivre pour désactiver une puce électronique sur un scooter - comme si l'internationale Al Qaeda n'avait pas tous les spécialistes de ce genre de choses à la maison ! Et puis, surveillé depuis "des années" (sic) par les services ad hoc, voilà qu'il s'en va commettre un meurtre (le 11), deux autres plus une tentative (le 15), et pour finir, quatre autres meurtres (le 19), mais cette fois-ci, à deux pas de chez lui, soit quasiment à l'intérieur de la zone de bouclage par la police, histoire de faciliter son arrestation !

Et là, on se dit : "Just incredible!"

Cette petite frappe minable est le parfait portrait robot du "cave qu'on manipule". Pour preuve : un caïd d'Al Qaeda se serait rapidement suicidé pour ne pas être pris vivant, tandis que l'autre passe des heures à raconter sa vie, comme la petite frappe minable qu'il est.

Reste une question : comment cette petite frappe minable a-t-elle pu se muer en ce tueur froid et déterminé, qui s'en prend - de près - à des militaires rompus à la pratique de tous les sports de combat, et qui ose diriger une arme sur des enfants !

Pour ma part, hormis l'hypothèse de la manipulation - conditionnement psychologique, fourniture d'armes et de drogues dures, pour tenir le coup -, je ne vois pas ! 

Vous voulez que je vous dise ? J'écris ces lignes le jeudi 22 mars 2012 entre 9h30 et 10 heures. Apparemment, le suspect des meurtres de Toulouse et Montauban est toujours retranché dans son appartement. Il paraît que tout le monde veut le récupérer vivant.

Pour ma part, je ne serais pas surpris s'il sortait de là les pieds devant, ayant été tué - ou s'étant tué ! - dans les toutes premières heures de l'assaut.

Je rappelle, en passant, que tout ce que les médias rapportent de cet assaut ne repose que sur la parole des officiels !

- Et alors ? Allez-vous me demander... 

- Et alors ? Wait and see ! Mais si, d'aventure, Mohamed Merah devait ne pas sortir vivant de l'assaut du RAID, après toutes ces heures durant lesquelles on nous a bassinés qu'on le voulait vivant, c'est qu'on nous aura pris pour des billes, et ce, depuis le début !




Le moins qu'on puisse dire est que certaine( ) déclaration( ), comme ici, celle du ministre de l'Intérieur, ne laisse rien augurer de bon, comme si l'on préparait déjà l'opinion publique...




Le ministre de l'Intérieur, réfléchissant à voix haute, juge "assez étrange" que M. M. n'ait jamais réagi pendant la nuit dans son appartement.

Assez étrange, en effet ! Et dire que le RAID dispose d'assez de moyens pour détecter la présence d'un sujet qui respire (= dégage du CO2) dans une pièce !

Ah, j'oubliais : vous connaissez la formule : le suspect reste présumé innocent jusqu'à preuve du contraire !


dimanche 18 mars 2012

1945-1962. Guerre d'Algérie : retour sur des crimes - français - contre l'Humanité

1939-1945 : ce devait être la der des der, face à l'immonde pieuvre nazie.


 

 

Vous connaissez la nouvelle ?

Il paraît que le Syrien Bachar Al-Assad aurait commis, contre sa population, des crimes contre l'Humanité.


Parce que, quand vous êtes à la tête d'un Etat déstabilisé par des factions extrémistes, armées jusqu'aux dents par des pays étrangers, que vous perdez vos soldats par centaines, à la suite d'embuscades montées par ces mêmes factions manipulées par l'étranger, que des voitures piégées explosent au beau milieu de vos villes, tuant les gens par dizaines, vous êtes passible de la Cour pénale Internationale si vous osez décréter l'éradication des hordes de barbouzes infiltrées par l'étranger dans votre pays.

Voilà donc Assad criminel contre l'Humanité !

Tandis que la France, en Algérie, ne s'est livrée qu'à des opérations de maintien de l'ordre...


8 mai 1945. Sétif et Guelma. Combien de morts déjà, victimes d'un massacre délibéré ? 50 000 ? Ça nous donne un ordre de grandeur : les Algériens furent massacrés par dizaines de milliers, chez eux, dans leur propre pays, par une armée d'occupants, une performance que les troupes hitlériennes n'ont réalisée dans les mêmes proportions que lors des massacres massifs de Babi Yar ou de la Fête des Moissons !


Il se trouve simplement que les crimes contre l'Humanité sont imprescriptibles. Ça veut dire que l'action judiciaire ne saurait s'éteindre à leur propos.





Il faudra bien juger la France pour les crimes contre l'Humanité commis en Algérie entre 1945 et 1962, pour ceux commis à Madagascar en 1947, sans oublier le Cameroun, le Sénégal..., la liste n'étant pas exhaustive.

19 mars 1962, accords d'Evian, fin des opérations de maintien de l'ordre en Algérie. Par parenthèse, c'est la France qui, au Cameroun, inaugure la pratique des bombardements au napalm afin de détruire la végétation et de priver les combattants camerounais de toute couverture végétale.

Il faut croire qu'au Cameroun, l'occupant français a gagné la guerre, puisqu'il a réussi à éradiquer l'ensemble des forces progressistes du pays, livrant le pays à une dictature qui sévit jusqu'à nos jours. Quant aux bombardements de la végétation au napalm,  ils inspireront un autre occupant : les Américains au Vietnam, pays copieusement couvert de bombes à son tour, notamment au napalm afin d'en éradiquer le moindre arbuste de manière à affamer la population. 


Il est des guerres qui se gagnent avec les armes, et se perdent quand même !


Le fait est que les colonisateurs n'ont gagné aucune guerre dans des territoires illégalement conquis au cours des derniers siècles, même s'ils ont parfois réussi, provisoirement, à installer des pantins au pouvoir ici et là. Mais ça, ce n'est que de la conjoncture.


Il reste que, structurellement parlant, la déroute des Français en Algérie et en Indochine était programmée, tout comme celle des Américains au Vietnam, celle des soviétiques en Afghanistan,   celle de l'Otan en Irak, en Afghanistan...

Alors, d'aucuns vont se demander pourquoi, puisque sur la longue durée, les faits sont là, les puissances impérialistes continuent-elles à s'accrocher à vouloir couvrir d'autres pays de bombes - avez-vous remarqué la propension qu'ont ces gens à toujours projeter leurs armées sur le territoire des autres nations ? -, tout en dissertant sur la paix dans le monde ?


Il faut aller chercher les raisons de cette schizophrénie dans l'activisme des lobbies militaro-financiers. Le fait est que les guerres font marcher le commerce et l'industrie. L'Otan a d'ores et déjà perdu la guerre en Irak et en Afghanistan. Tout le monde le voit bien. C'est un fait structurel que les armées occidentales ne pourront pas se maintenir indéfiniment si loin de leurs bases. Du reste, on n'a pas encore inventé le robot-soldat, ce qui fait que la guerre est encore pratiquée par des hommes de chair et d'os, qui ont une psychologie, et qui, souvent, disjonctent voire deviennent fous, comme les dérapages de certains soldats occidentaux en Irak et en Afghanistan nous l'ont montré récemment : on urine sur des cadavres, on brûle des exemplaires du Coran, on arrose de roquettes des rassemblements de villageois fêtant un mariage, on attache des prisonniers qu'on promène comme des chiens... Autant de signes de la violence psychique que les horreurs de la guerre infligent à de jeunes soldats que rien n'avait préparés à baigner dans tant de sang.

 

Lors de l'opération "Barbarossa", qui a vu les Einsatzgruppen d'Hitler investir le territoire soviétique pour y exterminer des populations civiles par centaines de milliers, un jeune soldat allemand écrit à sa mère et lui décrit des conditions de vie tellement dures que certains esprits fragiles en sont réduits à se suicider.

On ne fait pas d'omelettes sans casser des oeufs. La bonne santé de l'industrie et du monde des affaires vaut bien la peine que l'on sacrifie quelques soldats voire quelques dizaines ou centaines de milliers de civils.




Après tout, quelle aubaine pour l'industrie, qu'un pays voire un continent entier - l'Europe en 1945, l'Irak, l'Afghanistan ou la Libye aujourd'hui,  - soit entièrement à reconstruire, après une longue série de destructions systématiques ?




Vous croyez que les criminels responsables de la destruction de l'Irak ou de la Libye sont fous ? Demandez aux hommes d'affaires qui s'entassent en ce moment même dans quelques hôtels de Tripoli ou de Bagdad !

Des guerres perdues d'avance sur le plan politique, mais qui auront permis à quelques grandes firmes de faire de bien lucratives affaires, avant de passer à autre chose, je veux dire à d'autres guerres ! Et qu'importe aux dirigeants de ces pays si cela coûte la vie à quelques dizaines de soldats ici, à centaines de soldats là ? Quant aux civils...


Entre nous, Margaret Thatcher aurait-elle bâti sa légende de "dame de fer" si elle n'avait pas gagné la guerre des Malouines ? Et quelle importance si quelques dizaines de soldats britanniques meurent au passage, pourvu que la Dame de fer voie sa stature internationale confortée et que les milieux d'affaires voient leurs activités dopées à la Bourse ?
 On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs ! 


Question : combien de temps faut-il à un juriste noir,  de tendance modérée et pacifiste, pour se transformer en initiateur d'assassinats ciblés, de stratégies de décapitation et de bombardements à distance de masures en terre battue à l'autre bout du monde ? 

 


Liens : 01  -  02  -  03  -  04  -  05

mardi 13 mars 2012

Un secret de Polichinelle : la Révolution d'Octobre 1917 est une création des banquiers de Wall Street. About an open secret: how Wall Street banquers sponsored the Russian Oktober Revolution!


L'homme se fait appeler « Brother Nathanael (Kapner) » et serait né de deux parents juifs qui l’ont élevé - en tout cas tenté de l’élever - dans le judaisme, religion à laquelle il s’est très vite senti réfractaire, comme il le raconte lui-même (Why I left Judaism/Pourquoi j’ai tourné le dos au judaisme). Nathanael Kapner est, donc, ce qu’on appelle en langage savant un apostat. Et un apostat qui voue à sa religion d’origine une haine féroce, à en juger par ses écrits, auxquels  le premier amendement de la Constitution américaine (heureux Américains, n’est-ce pas, cher Dieudonné ?) lui garantit la liberté la plus totale.

Et que dit Kapner de ses ex-coreligionnaires ? Que ce sont des imposteurs. Tiens, tiens ! C’est précisément le reproche structurel que le judaïsme fait au christianisme, leur messie étant toujours espéré !

Mais il y a autre chose : toute une litanie de crimes qui seraient à mettre au passif direct des Juifs.

Comme par exemple ?

Là, j’avoue que je suis tombé de ma chaise, en apprenant que celui que je prenais pour le prototype même de  l’incorruptible, face au criminel majuscule que fut Staline - je veux parler de Trotsky - n’était rien d’autre qu’une taupe manipulée par des banquiers (juifs) de Wall Street. Oui madame, oui monsieur ! Et encore ne s’agit-il ici non pas d’un scoop révélé par Kapner mais de résultats de travaux de l’historien britannique Anthony Sutton. La révolution d’octobre n’aurait donc été que la création d’une oligarchie financière basée à Wall Street, New York !


The man who is calling himself "Brother Nathanael (Kapner)" was allegedly born of two Jewish parents who raised him - at least tried to raise him - in Judaism, a religion to which he soon felt refractory, as he states himself ("Why I left  judaism”).

Nathanael Kapner is, therefore, what in scientific language is called an apostate. And that very apostate did to his original religion a fierce hatred, as we can judge by his writings that the First Amendment of the U.S. Constitution lets him states in a completely free manner.

But what does Kapner explain about his former coreligionists? That they are impostors. How funny! That is precisely the structural criticism that Judaism directs at Christianity, the former being still waiting for the “true”  Messiah!

But there is something else: a litany of crimes that should have been committed by Jews.

Such as?

And here I must admit that I fell off my chair, discovering that the man I always considered as the absolute incorruptible soul beside that absolute devil and criminal named Stalin, I mean Trotsky, was nobody else but a puppy manipulated by Jewish bankers of Wall Street. Yes ma'am, yes sir!

And to be honest, that very scoop has not been revealed by Kapner but is the result of the research of the British historian Anthony Sutton. We must also admit that the Russian “October Revolution” has been nothing but a creation of the financial oligarchy based on Wall StreetNew York!



An international mafia, lawless, and capable to combine what people thought incompatible: the purest capitalism on the one hand, and what was believed to be the very substance of the proletarian revolution, on the other.

That revolution was a sham, built on one of the most heinous murder of modern times: that of the Romanov family.

And now guess why Sutton's book has never been a bestseller! You know what? I, you, all of us must absolutely read Sutton's work, available (in full text) thanks to the Internet.

And here we have got Sutton's foreword to his essay: Wall Street and the Bolshevik revolution.

Since the early 1920s, numerous pamphlets and articles, even a few books, have sought to forge a link between "international bankers" and "Bolshevik revolutionaries." Rarely have these attempts been supported by hard evidence, and never have such attempts been argued within the framework of a scientific methodology. Indeed, some of the "evidence" used in these efforts has been fraudulent, some has been irrelevant, much cannot be checked. Examination of the topic by academic writers has been studiously avoided; probably because the hypothesis offends the neat dichotomy of capitalists versus Communists (and everyone knows, of course, that these are bitter enemies). Moreover, because a great deal that has been written borders on the absurd, a sound academic reputation could easily be wrecked on the shoals of ridicule. Reason enough to avoid the topic.

Fortunately, the State Department Decimal File, particularly the 861.00 section, contains extensive documentation on the hypothesized link. When the evidence in these official papers is merged with nonofficial evidence from biographies, personal papers, and conventional histories, a truly fascinating story emerges.

We find there was a link between some New York international bankers and many revolutionaries, including Bolsheviks. These banking gentlemen — who are here identified — had a financial stake in, and were rooting for, the success of the Bolshevik Revolution.

Who, why — and for how much — is the story in this book.

Une mafia internationale, sans foi ni loi, capable d'associer ce qu'on croyait incompatible : le capitalisme le plus pur, d'une part, et ce qu'on prenait pour la substantifique moelle de la révolution prolétarienne, d'autre part.

Cette révolution n'était qu'une imposture, bâtie sur un meurtre des plus ignobles : celui de la famille Romanov.

Je vous laisse deviner pourquoi le bouquin de Sutton n'a jamais été un bestseller !

Vous savez quoi ? Je, vous, nous tous devons lire le bouquin de Sutton, que l'on peut consulter intégralement dans sa version originale ici...

Je vous ai traduit, ci-dessous, la préface de Anthony Sutton à l'ouvrage : Wall Street et la révolution bolchevique.

Depuis les années 1920, de nombreuses brochures et articles, et même quelques livres, ont cherché à établir un lien entre «banquiers internationaux» et «révolutionnaires bolcheviques." Rarement ces tentatives ont été confortées par des preuves tangibles, pas plus qu’elles ne se sont fondées sur une méthodologie scientifique. En effet, une partie des éléments de « preuve » utilisés dans ces productions se sont avérés frauduleux, d’autres sans grande importance, beaucoup d’autres ne pouvant pas être vérifiés. Tout examen de la question par des universitaires patentés a été soigneusement évité, probablement parce que la thèse en question vient en contradiction totale de l’opposition classique entre  capitalistes et  communistes (et tout le monde sait, naturellement, que les uns et les autres sont des ennemis acharnés). En outre, parce qu'une grande partie de ce qui a été écrit frise   l'absurde, une solide réputation universitaire pouvait être aisément ruinée et sombrer dans le ridicule. Une raison suffisante pour éviter d’aborder le sujet.


Fort heureusement, le State Department Decimal File (Archives Nationales), en particulier la section 861.00, contient une documentation complète sur la question controversée. Dès lors que des éléments de preuve fournis par ces documents officiels sont confrontés avec des preuves non officielles tirées de biographies ou d’archives privées et de récits ordinaires, alors on voit poindre une réalité histoirique vraiment fascinante.

Nous découvrons alors qu’il y avait bien un lien entre certains banquiers internationaux de la place de New York et de nombreux révolutionnaires, y compris des bolcheviks. Ces messieurs de la banque – bien identifiés ici – avaient un intérêt financier dans, et ont été à la source de la réussite de la révolution bolchevique.

Qui, pourquoi – et pour quel bénéfice –, telle est l'histoire de ce livre.



Reconnaissez tout de même que la collusion entre les premiers "communistes" et la banque new-yorkaise a de quoi stupéfier... les naïfs que nous sommes, ou que nous avons été, avant que les écailles nous tombent des yeux. Car, au fond, tout s'explique !

Vous comprenez maintenant pourquoi ils ont inventé ce qu'ils appellent la "shoah" ou encore l'"holocauste", cette surenchère à la victimisation ? Ça s'appelle un contre-feu ! Des crimes et des génocides ont été commis durant la Seconde Guerre mondiale et ne sauraient être détachés de cette dernière, pas plus qu'ils ne sauraient être réservés à une seule catégorie d'individus, contrairement à ce que les deux vocables susmentionnés le suggèrent. De fait, la thèse dite de la "Uniqueness", consistant à isoler un groupe particulier parmi toutes les victimes d'Hitler, est une escroquerie historique, car utilisée comme un paravent pour camoufler moult choses pas toujours avouables. J'invite ceux que ça intéresse à consulter le pamphlet de Roger Garaudy sur "Les mythes fondateurs de la politique israélienne". En cherchant bien, on le trouve ici ou là, sur l'Internet.

Pour l'heure, ils s'essaient encore à instrumentaliser les lois liberticides (voyez Dieudonné, Faurisson ou Garaudy), mais grâce à l'Internet, cette guerre-là, ils l'ont déjà perdue !

Tout de même : Trotsky et Lénine, des valets de la banque new-yorkaise ! On tombe de haut ! Et s'il n'y avait que Trotsky et Lénine !

Ci-dessous : extrait du prologue des Mythes fondateurs de la politique israélienne.




We must frankly recognize that the collusion between the original "communists" and the New Yorker bankers has something amazing ... for the naive souls that we are, or were, before scales fall from our eyes! Because in reality, everything has an explanation!

And now you understand why they invented what they call "Shoah" or "Holocaust", trying to put themselves at the top ranking of the victims of barbarity, in order to make them innocent of everything. Of course! That is what people call a backfire! Crimes and genocides have been committed during World War II, and cannot be detached from that war, being a consequence of it, nor should they be reserved for one single category of individuals, contrary to what the two words above might suggest. In fact, the thesis known as the "Uniqueness", consisting in isolating a particular group among all the victims of Hitler is a historical fraud because it is used as a veil with the purpose to hide a lot of not always acknowledgeable things. I invite those interested in this issue to look for Roger Garaudy's (important French philosopher) pamphlet on "The Founding Myths of Israel's policy". If you search closely, you should manage to find it here and there on the Internet.

Anyway, discovering Lenin and Trotsky profiling themselves as lackeys of the New Yorker bankers let you absolutely speechless! And if that were only Trotsky and Lenin!




Links - Liens : 01  -  02  -  03  -  04  -  05  - 06 - 07  -  08  - 09 - 10

mardi 6 mars 2012

Négrier un jour... Slave trader one day...

Plus intéressante que la lecture barbante d'une presse inepte et indigeste ? L'exploration de la gigantesque bibliothèque mondiale. Ci-dessous, un article déniché sur le site (désaffecté) LesOgres, sous réserve de non désactivation du lien...

Observation : ce qu'il est convenu d'appeler la science historique repose, comme toute science, non pas sur des incantations, des présupposés et des anathèmes, mais sur des faits avérés, donc incontestables. Et sur ce plan, la réalité de la traite des Noirs comme crime contre l'Humanité n'est pas discutable. 


Les Juifs esclavagistes Radhanites


Les Radhanites ou Radanites (en hébreu, רדהני / Radhani (singulier) ou רדהנים / Radhanim (pluriel) ; en arabe, الرذنية / ar-Raðaniyya) étaient des marchands juifs du Haut Moyen Âge. Ils dominèrent le commerce entre les mondes chrétien et musulman entre 600 et 1000 de l’ère chrétienne.
(...)
Ces marchands parlent arabe, persan, grec [byzantin], franc, espagnol et slave. Ils voyagent d’ouest en est et d’est en ouest, partiellement sur terre, partiellement sur mer. Ils transportent depuis l’occident des eunuques, des femmes réduites en esclavage, des garçons, des soieries, des castors, des martes et d’autres fourrures, et des épées.
(...)
Plusieurs étymologies ont été suggérées pour le mot Radhanite et pour l’origine de ces marchands juifs. La première, plus ancienne, considère que les Radhanites sont des descendants de juifs installés en France durant l’Antiquité, tandis que les défenseurs de la seconde pensent que le centre de leur activité était en Orient (Irak ou Perse).

Le peuplement juif de l’Europe occidentale fut probablement le fait de marchands qui auraient suivi les légions romaines. Ils établirent des comptoirs dans les principaux centres commerciaux de l’empire : ports, carrefours routiers, villes fluviales et marchés. À propos de la présence de colonies juives dans tout l’empire, en Occident et en Orient, le géographe grec Strabon écrivit ainsi : « Il n’est pas aisé de trouver un endroit sur la terre qui n’ait reçu cette race. » Les Juifs bénéficiaient de nombreux privilèges attribués par César, Auguste et Tibère en raison de la richesse que créait leur activité commerciale. En 212, ils devinrent citoyens romains comme tous les hommes libres de l’empire.
(...)
Avec la détérioration du pouvoir royal, les commerçants juifs revinrent en France : ils s’installèrent principalement à Metz, Verdun et Narbonne. Les Radhanites auraient été les descendants de ces juifs installés très tôt en France. Cecil Roth et Claude Cahen, parmi d’autres, situent leur foyer dans la vallée du Rhône, dont le nom latin est Rhodanus. Selon ces spécialistes, le centre de l’activité radhanite était probablement en France car toutes leurs routes commerciales y commençaient.
(...)
les Radhanites furent parmi les premiers à établir un réseau commercial qui s’étendait de l’Europe occidentale à l’est de l’Asie. Ils furent également les seuls à faire du commerce entre l’Europe et le Proche-Orient au Haut Moyen Âge. Fait encore plus remarquable, ils menèrent ce commerce intercontinental sur une base régulière et une période de temps étendue.
(...)
Les voyages des Radhanites étaient longs et dangereux. Ils duraient souvent plusieurs années : il fallait par exemple aux alentours d’un an pour aller de Cordoue à Bagdad. Les caravanes radhanites étaient protégées par des cavaliers armés ; dans une lettre du XIe siècle trouvée dans le Genizah du Caire, les juifs d’Alexandrie demandent aux autorités juives du Caire d’obtenir la libération de marchands enlevés par des pirates. Le sort des communautés juives installées le long du parcours des Radhanites et qui facilitaient grandement leur commerce était également précaire : la ville de Canton, principal centre radhanite en Chine, connut plusieurs émeutes durant lesquelles les marchands étrangers furent massacrés. En Europe, l’aisance financière des Radhanites suscitait la jalousie des chrétiens. Agobard, archevêque de Lyon, écrivit à l’évêque de Narbonne (où bon nombre de Radhanites étaient installés) en 827 afin de dénoncer la présence juive. Les voyages des Radhanites étaient également rendus pénibles par les interdits alimentaires : selon des textes rabbiniques du Nord et de l’Est de la France, ne pouvant se fournir en viande casher le long du trajet, ils devaient s’abstenir de manger de la viande.
(...)
Les Radhanites transportaient principalement des biens précieux et de faible encombrement, notamment des épices (musc, aloès, camphre, cannelle, etc.), des porcelaines, des parfums, de la joaillerie et de la soie. Ils auraient également fait le commerce du pétrole, de l’encens, des armes en acier, des fourrures, des eunuques et des esclaves (en particulier, les Saqāliba). Ces deux derniers biens constituaient une part importante de leur activité.

Les Radhanites jouaient un rôle essentiel dans le commerce des esclaves slaves qui connut un fort développement au Xe siècle. Verdun, par exemple, un des principaux centres commerciaux Radhanites, était un grand marché à esclaves. Cette ville était également un important lieu de castration des eunuques.
(...)
Comme récompense de la richesse qu’ils apportaient, les marchands juifs bénéficièrent de divers privilèges, sous les Carolingiens en France et à travers le monde musulman. Ils fréquentèrent notamment la cour sous Charlemagne et Louis le Pieux. Ce dernier accorde en 825 des chartes aux marchands juifs Donat, Samuel, Abraham de Saragosse, David Davitis et Joseph de Lyon : protection de leur vie et de leurs biens, liberté de commercer, liberté religieuse. Cependant, les juifs n’avaient pas le droit de posséder de propriété immobilière : en effet, la très grande aisance des marchands Radhanites leur aurait permis d’accaparer les terres et les bâtiments.
(...)
La situation des Juifs en Occident se dégrada. En raison du trafic d’esclaves et de l’hostilité du clergé, les Radhanites auraient perdu les soutiens dont ils disposaient dans les cours européennes.






Les Juifs négriers Marranes

Les Marranes (dérivé de l’espagnol et du portugais Marrano : cochon, lui-même de l’arabe محرّم muharram signifiant "rituellement interdit", se référant à la prohibition de la viande de porc des religions juive et musulmane), étaient des Juifs séfarades (Juifs de la Péninsule Ibérique), plus rarement des Maures ou des musulmans, qui furent forcés d’adopter une identité chrétienne, soit par la force suite aux persécutions des Juifs par l’Inquisition espagnole ou portugaise, ou qui se convertirent de leur propre gré à la religion catholique lors de la Reconquista et plus tard encore.
(...)
Nombre de Marranos poursuivant leurs traditions ancestrales, appelés crypto-juifs ou conversos, continuèrent à pratiquer leur judaïsme en secret, tout en professant publiquement le catholicisme.
SOURCE : wikipedia
Les nouveaux-chrétiens portugais d’ascendance juive, passés massivement en Espagne au xvie siècle, acquièrent un rôle premier dans le négoce et les finances. Parmi eux, les marranes se singularisent par leurs pratiques religieuses et les contraintes imposées par les statuts de pureté de sang et l’Inquisition.
SOURCE : cairn.info
(...)
Au 18ème siècle, environ un quart des participations dans les compagnies internationales hollandaises sont détenues par des Juifs et son déclin amène ensuite la ruine de la plupart des familles aisées ».
Le chercheur juif Arnold Wiznitzer est beaucoup plus explicite concernant l’implication des Juifs au Brésil : « A part leur position importante dans l’industrie sucrière, ils dominent le négoce des esclaves .
De 1636 à 1645, un total de 23.163 Nègres [dans le texte] arrivent d’Afrique et sont vendus pour 6.714.423 Florins [soit environ 290 Florins par individu, tel est le prix de la vie humaine d’un Noir à l’époque...], Les acheteurs, lors des ventes aux enchères étaient tous Juifs et du fait de ce manque de compétition dans le négoce d’esclaves, ils étaient achetés à vil prix. Par ailleurs, il n’existait pas non plus de compétition pour l’achat des esclaves qui étaient payés à crédit jusqu’à la prochaine saison de vente du sucre.
Si les enchères avaient lieu un jour de fête juive, elles étaient automatiquement reportées. ».
Moshe Kahan déclare sans ménagements qu’en 1653-1658, « les négociants Juifs-Marranes possédaient le contrôle du commerce espagnol et portugais , donc détenaient quasiment le contrôle du commerce levantin... avaient d’importantes sommes d’argent à leur disposition ».
Seymour B. Liebman dans le New World Jewry (Nouveau Monde Juif), indique clairement que « les navires n’appartiennent pas seulement aux Juifs, mais sont commandés par des capitaines juifs avec des équipages composés de Juifs ».
(...)
SOURCE : africamaat


Les Juifs étaient bien esclavagistes, et aussi esclavagistes spécifiquement de Noirs parce que Noirs, Négriers donc, tout comme les Catholiques, les Protestants, et autres Musulmans.

Esclavagiste et négrier : Une "foi" très bien partagée donc... Sans aucune exception semble-t-il quoi qu’on puisse chercher à nous faire croire chez certains politico-religieux-colonialistes.

Les Juifs, cachés ou pas, n’ont donc pas fait exception.

On ne peut donc pas exempter "les Juifs", ni aucune autre religion, ni aucun autre pratiquant, croyant ou religieux ou non-croyant, de leur responsabilité dans LE GENOCIDE NEGRIER.


Lien