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mardi 11 septembre 2012

11.09.01. The big fake. Eleven years after nine-eleven. La grande imposture. Onze ans après un certain onze septembre


Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, le 11 septembre signifie d'abord ça : un régime démocratique défait par une junte militaire putschiste pilotée par la C.I.A., à l'instar de ce que les États-Unis d'Amérique ont fait dans leur "arrière-cour" latino-américaine durant pas loin d'un siècle maintenant, avec le cas particulièrement spectaculaire de la dictature cubaine de Battista, co-régie par la Mafia (Lucky Luciano, Meir Lansky).

Du coup, moi, tous les onze septembre, je pense d'abord à Allende et aux innombrables victimes de la dictature et de la politique criminelle d'ingérence états-unienne dans le monde.


You may have got another opinion as mine, but as for me, September 11th 2001 means first a democratic regime defeated by a military coup (1973) on behalf of a junta sponsored by the C.I.A., according to what the United States of America – I mean their corrupted governments! – used to do in their Latin-American "backyard" during the last  century, one of the most dramatic cases being the Cuban dictatorship of Battista, co-governed by the Mafia (Lucky Luciano, Meir Lansky).

The fact is that September 11th is for me at first the Salvador Allende’s day, a day of remembrance and of compassion for the people of Chile, for the countless victims of the dictatorship and of the criminal U.S. interference in the affairs of foreign countries.


And then we got that strange scenario of 9/11/01 that we are a lot to consider with much perplexity, given the huge amount of skeptical opinions available for example on the Internet.

Et puis, il y eut cet étrange scénario du 11.09.01 que nous sommes un certain nombre à considérer avec la plus grande perplexité, à en juger par les images qui suivent.

Ci-dessous : l'immeuble n° 7 du World Trade Center n'a pas pu s'effondrer tout seul (car touché par aucun avion !).



I do consider that the strongest evidence of deception lies in the alledged Pentagon attack by an aircraft supposed to be a Boeing 757. Let's read below some particularly relevant comments...

Pour ma part, la preuve la plus flagrante de la supercherie réside dans l'attaque du Pentagone par un avion censé être un Boeing 757. Je m'en vais, donc, citer quelques commentaires particulièrement pertinents...

This scene of the Pentagon shows a series of rather small holes on the ground floor where a Boeing 757 is alleged to have struck the building. The largest hole in the ground floor is about 15 meters wide, only a fraction of the wingspan of a Boeing 757. (...) The wings of a Boeing cannot possibly “fold up and follow the aircraft in” as one official explanation had it, nor could they have been “vaporized” by a jet fuel (kerosene) fire. Nor, given the extreme rigidity of the aircraft’s internal structure, could the Pentagon have acted like vegetable slicer. Indeed, windows are still intact in many places where the wings should have gone through.

Cette scène du Pentagone montre une série de trous assez petits au rez-de-chaussée où un Boeing 757 est censé avoir frappé le bâtiment. Le plus grand trou est d'environ 15 mètres de large, ce qui correspond seulement à une fraction de l'envergure d'un Boeing 757. (…) Les ailes d'un Boeing ne peuvent pas avoir été repliées de façon à s’introduire avec l’avion dans le trou, comme le suggérerait la thèse officielle, pas plus qu’elles n’auraient pu être "vaporisées" par un incendie de kérosène. Par ailleurs, étant donnée l'extrême rigidité de la structure interne de l'appareil, difficile d’imaginer que le Pentagone ait pu fonctionner à la manière d'un "coupe-légumes". De fait, on voit des fenêtres encore intactes à des emplacements que les ailes sont censées avoir percutés.




The damaged engine shown in the image on the left was among the crash debris found at the Pentagon. It happens to match the engine shown on the right, a JT8D engine manufactured by Pratt & Whitney, except the damaged engine has lost its rotor blades. The JT8D is apparently used in the A3 Skywarrior, among other aircraft. However, the JT8D is NOT used on heavier aircraft like the Boeing 700-series passenger jets, as it is much too small to be an effective power plant for such aircraft. It follows that, whatever aircraft struck the Pentagon, it was not a Boeing 757, as claimed by the White House on September 11, 2001.

Le moteur endommagé visible sur l'image de gauche se trouvait parmi les débris de l'accident survenu au Pentagone. Il correspond au moteur représenté sur la droite, un moteur JT8D fabriqué par Pratt & Whitney, à ceci près que le moteur endommagé a perdu les pales du rotor. Le JT8D est apparemment utilisé dans le Skywarrior A3, entre autres aéronefs. Cependant, le JT8D n’est pas en fonction sur des avions plus lourds comme les Boeing de la série 700, car il est beaucoup trop petit pour être efficace sur de tels aéronefs. Il s'ensuit que, quel que soit l’avion qui a percuté le Pentagone, ce ne pouvait pas être un Boeing 757, contrairement aux allégations de la Maison Blanche.

This remarkable transformation (left image) of Ousama bin Laden (right image) occurred on December 13, 2001 as part of a videotape that was one of several released to the media over the years since 9/11. Either he had been compressed vertically by some awesome force, then baked in an oven for an hour — or the image on the left is not bin Laden. The conclusion being obvious, it is sad to realize how easily this duplicity passed through media hands with nary a whisper of suspicion. In the end, it becomes a question of incompetence, compliance or complicity. It strains credulity to think that such a large collection of professional people could have attained such a degree of collective stupidity.

Cette transformation remarquable (image de gauche) d'Ousama Ben Laden (image de droite) a eu lieu le 13 Décembre 2001, à la suite de la parution d'une cassette vidéo qui a été l'une des nombreuses sources communiquées aux médias au fil des ans, depuis le 9/11. Soit l’homme a été comprimé verticalement par une force impressionnante, puis cuit dans un four pendant une heure - ou alors l’homme représenté à gauche n'est pas Ben Laden. La conclusion est évidente, il est triste de constater avec quelle facilité cette supercherie a pu passer entre les mains des médias sans une once de suspicion. En fin de compte, cela relève de l'incompétence, du conformisme ou de la complicité. On a du mal à imaginer qu’une telle collection de professionnels ait pu atteindre un tel degré de stupidité collective.





Ce qu'on peut penser de la dernière séquence ? Qu'à l'instar de Kadhafi ou de Saddam Hussein, Ben Laden avait certainement des sosies censés brouiller les pistes... Ce qui peut vouloir dire que soit le "vrai" Ben Laden est mort depuis bien plus longtemps que la prétendue opération d'Abotabad, au Pakistan, soit qu'il est toujours vivant. Comme pourrait l'être encore le vrai Kadhafi, d'ailleurs ! Allez savoir !

mercredi 29 août 2012

Vivement un tribunal pénal international pour juger les massacreurs de civils en Syrie et leurs sponsors de la mafia internationale


C'est ce pauvre Ban Ki Moon qui réclamait une "commission d'enquête indépendante" après de nouveaux massacres en Syrie, comme après Houla, où l'Etat syrien fut accusé bien vite, mais pas très longtemps, devant les évidences. Ce pauvre Ban Ki Moon est vraiment un déshonneur pour ce qui s'appelle encore l'"ONU", mais les marionnettistes qui le manipulent sont, pour leur part, d'authentiques ordures pour lesquelles le monde libre - entendez les pays non-alignés - devrait réserver un nouveau tribunal de... (pas Nuremberg, justement) Dar Es Salaam, La Havane, ou Rio de Janeiro, par exemple.

Et parmi les criminels que nous jugerons en premier, il y a assurément les deux guignols reproduits ci-dessous, dont l'un n'est autre que l'actuel ministre français de la propagande. Et en ce qui le concerne, précisément, on pourra faire d'une pierre deux coups, en associant à ses crimes d'aujourd'hui l'immonde crime d'hier (1985) contre le navire amiral de Greenpeace dans le port d'Auckland (Nouvelle-Zélande).


En ce qui concerne Darya, Houla..., en Syrie, tout le monde a parfaitement compris qui a massacré tous ces civils - surtout qu'il y a des survivants qui parlent ! -, mais ça n'empêche pas nos petits épigones de Goebbels d'y aller de leurs imprécations contre Al-Assad, histoire de détourner l'attention de leur sponsoring criminel en Syrie.

Et pendant que ces deux criminels papotent, l'Armée Syrienne fait main basse sur des preuves accablantes de l'ingérence criminelle étrangère sur son sol.

Pièces à conviction qui permettront de confondre les criminels de l'Internationale ONU-OTAN

Lu sur le blog "Libya.SOS" et traduit par mes soins.

Genocidio en Darya perpetrados por "Oposición Siria" integrada por mercenarios de la OTAN, EE.UU y Al Qaeda Las mentiras mediáticas imperialistas quieren convertir la derrota terrorista en Daraya en “masacre del régimen”.


Tras varios días de combates las bandas terroristas armadas por la CIA y pagadas por los sauditas han huido de Daraya  en las afueras de Damasco añadiendo una derrota más a las numerosas que les viene infligiendo el Ejército árabe sirio (EAS). Los mercenarios “opositores” en su huida ha cometido un genocidio, 300 civiles asesinados cruelmente entre niños, mujeres y ancianos. Las oficinas de intoxicación informativa dirigidas por los servicios especiales de los países de la OTAN no pueden ocultar que este genocidio fue cometido por hordas criminales al servicio de la alianza OTAN, EE.UU y AlQaeda. Y justo en la víspera de la importante cumbre del Movimiento de los No Alineados que va a significar un paso en el aislamiento de la política imperialista contra Siria. Un equipo de la cadena Press TV ha acompañado a las tropas sirias en Daraya, ha filmado los combates, los terroristas eliminados en combate, los civiles asesinados por estas bandas salafistas en su huida y a los civiles todavía atemorizados por lo sufrido que agradecen al EAS haberles liberado de esta pesadilla. ¿Dónde esta la ONU?, ¿Dónde esta médicos y reporteros “independientes”?, ¿Dónde esta amnistía internacional?, ¿Dónde están las ONGs “humanitarias”?, todas están instituciones son cretinas e hipócritas solo responden a sus amos capitalistas ….

Darya génocide perpétré par « l'opposition syrienne » composée de mercenaires de l'OTAN, des États-Unis et d’Al-Qaïda. Les mensonges des médias impérialistes qui veulent transformer la défaite du terrorisme à Daraya en "massacre du régime".

Après plusieurs jours de combats, les groupes terroristes armés par la CIA et payés par les Saoudiens se sont enfuis de Daraya, près de Damas en ajoutant une déroute de plus aux nombreuses défaites que vient de leur infliger l’Armée Arabe Syrienne. Dans leur fuite, les mercenaires de l’« opposition » ont commis un génocide, massacrant cruellement 300 civils, dont des enfants, des femmes et des personnes âgées. Les officines spécialisées dans l'intoxication médiatique sous la férule des services spéciaux des pays de l'OTAN ne pourront pas dissimuler que ce génocide ait été commis par des hordes criminelles au service de l'OTAN, des Etats-Unis et d’Al-Qaïda. Tout cela intervient juste à la veille d'un important sommet du Mouvement des Non-Alignés, qui constituera une étape importante dans l’ostracisation de la politique impérialiste contre la Syrie. La chaîne Press TV a accompagné les troupes à Daraya, a filmé les combats, les terroristes éliminés, des civils tués par ces gangs de salafistes dans leur fuite et aussi des civils encore apeurés par ce qu’ils viennent d’endurer et tellement reconnaissants envers l’Armée régulière pour les avoir libérés de ce cauchemar. Où est l'ONU ? Où sont les médecins et les journalistes « indépendants » ? Où est Amnesty International ? Où sont les ONG humanitaires » ? Toutes ces institutions hypocrites et ces crétins ne sont aux ordres que de leurs maîtres capitalistes...



jeudi 23 août 2012

Concerning Amnesty International's true image. À propos du vrai visage d'Amnesty International


The following is my personal French translation of an interesting article by T. Cartalucci about the misuse of "Human Rights" by colonial powers and corporate financier-interests. As the author states: "Amnesty is run by US State Department representatives, funded by convicted financial criminals, and threatens real human rights advocacy worldwide.".

Lu sur le site mathaba.net, un passionnant article que j'ai pris la liberté de traduire in extenso, et qui vient en renforcer une série d'autres sur le même sujet, à propos de l'escroquerie que constitue la mafia internationale organisée autour de l'exploitation du thème des Droits de l'Homme, système dont nous savons maintenant qu'il est loin de coller avec le sigle "O.N.G., avec 'N.G.' comme "Non Gouvernementale", dès lors que ces organisations sont bel et bien entre les mains des grandes puissances qui s'en servent comme nouveaux outils d'ingérence (humanitaire) à travers le monde en lieu et place de l'ancien système colonial. C'est ainsi qu'on a vu "Amnesy International" et ses alter ego, Human Rights Watch et la Ligue Internationale des Droits de l'Homme participer à l'invention de massacres de masse en Libye qui auraient été commis par les troupes de Kadhafi, de même que l'on a inventé des bombes à fragmentation à Misrata et autres crimes en Afrique, tout comme nous attendons toujours les enquêtes circonstanciées de ces mêmes pseudo-défenseurs des droits de l'Homme sur la purification ethnique intervenue en Libye du fait des harkis de l'Otan ainsi que sur les crimes commis par les troupes du tandem Soro-Ouattara en Côte d'Ivoire (cf. Duekoué).

Que nos grandes organisations de défense des "droits de l'homme" soient avant tout des alliées des puissances coloniales n'est plus qu'un secret de Polichinelle que l'article qui suit devrait contribuer à éventer un peu plus. 

Article de Tony Cartalucci (10100 mots)


Amnesty International is US State Department Propaganda - Amnesty International n'est rien d'autre qu'un agent de propagande au service du Département d'État américain.


Images tirées du site web d'Amnesty International USA, « Libérez Riot Pussy ». « Aidez Amnesty International à adresser un camion de cagoules à Poutine. ». Ce canular infantile sent à plein nez les singeries de Gene Sharp financées par le Secrétariat d'Etat américain et collent parfaitement à l'objectif du Département d'Etat américain de déstabiliser le gouvernement russe via des troupes de « militants de l'opposition » financés par les Etats-Unis, y compris « Pussy Riot ». Le fait qu’Amnesty appuie le programme du Département d'Etat américain ne devrait pas surprendre grand monde : il est exécuté à la lettre par une adjointe à la Secrétaire du d'Etat américaine pour les organisations internationales, Suzanne Nossel.

T. C.


22 août 2012 – Beaucoup de gens la considérant à tort comme la référence absolue en matière de droits de l'homme dans le monde entier seraient surpris d’apprendre qu’Amnesty International est en fait un des plus grands obstacles à une réelle défense des droits humains sur Terre. Dans son plus récent rapport annuel 2012 (page 4 de l’édition en .pdf), Amnesty réédite un des plus gros mensonges dont elle est coutumière :

 « Amnesty International est financée principalement par ses membres et les dons du public. Des fonds d’aucune sorte ne sont demandés ou acceptés des gouvernements dans le but d'enquêter et de faire campagne contre les violations des droits de l'homme. Amnesty International est indépendante de tout gouvernement, de toute idéologie politique, de toute puissance économique ou religieuse. »

Voilà qui est on ne peut plus faux. La réalité est qu’Amnesty International est, non seulement financée et dirigée par des gouvernements, mais aussi par de grands potentats financiers, et cette organisation n’est pas seulement absolument partie prenante dans l'idéologie politique et les intérêts économiques mais est également un outil essentiel de la sauvegarde de ces intérêts financiers et économiques.


Le financement d’Amnesty International

Trouver de l'information financière sur le site Internet d'Amnesty International est une tache rendue volontairement compliquée par les intéressés, précisément dans le but de protéger le mythe selon lequel l'organisation serait « indépendante ». À l’instar de toute organisation relevant du crime organisé, Amnesty brouille les pistes autour des liens financiers susceptibles d’être compromettants grâce à une série de manœuvres juridiques et à des organisations fictives. Sur le site d'Amnesty, on peut lire ceci :

 « Le travail effectué par le biais du secrétariat international d'Amnesty International est organisé en deux entités juridiques, en conformité avec le droit britannique. Ce sont Amnesty International Limited (‘AIL’) et Amnesty International Charity Limited (‘AICL’). Amnesty International Limited s'engage pour des activités de bienfaisance pour le compte d'Amnesty International Charity Limited, un organisme de bienfaisance immatriculé. »

Et c'est là, au sein d'Amnesty International Limited, que des liens avec les gouvernements et les intérêts financiers des entreprises bailleuses de fonds sont conservés. À la page 11 du Rapport et des Etats financiers d'Amnesty International Limited pour l’année 2011 (.pdf), il est dit notamment (c’est nous qui soulignons) :

« Les administrateurs sont heureux de souligner le soutien de la Fondation John D. et Catherine T. MacArthur, de la Fondation Oak, de l’Open Society Georgia Foundation, du Programme Vanguard de bienfaisance, de Mauro Tunes et de l’American Jewish World Service. Le Département britannique pour le développement international (Gouvernance et Transparency Fund) a continué de financer un projet d’éducation aux droits humains en Afrique de quatre ans. La Commission européenne (EuropeAid) a généreusement accordé une subvention pluriannuelle à Amnesty International en faveur de l’éducation aux droits humains en Europe. »

Il est donc clair, qu’Amnesty prend de l'argent aussi bien des gouvernements que des puissances financières capitalistes, dont l’une des plus célèbres, l'Open Society, est dirigée par criminel financier avéré : George Soros. En Mars 2012, un reportage de la chaîne d’information Bloomberg, intitulé « Soros débouté dans une affaire de délit d’initié en France » délit d'initié Conviction", a fait état qu’une saisine fondée sur une violation des « droits de l'homme » à l’encontre du spéculateur basé à Wall Street, George Soros, avait été rejetée par la « Cour européenne des droits de l'homme. »

 Soros, dont l'Open Society finance également Human Rights Watch ainsi qu'une myriade d'autres « défenseurs des droits de l'homme », a littéralement tenté d'utiliser le racket occidental autour des Droits de l'Homme pour se défendre lui-même contre des accusations de fraude financière sur ce qui est probablement l'illustration la plus transparente de la manière dont ce racket opère.

Soros, qui a été reconnu coupable et condamné à une amende pour délit d'initié en 2002, au sujet d'actions de la banque française Société Générale, qu’il avait achetées en 1988, a bâti un empire à partir d’une nébuleuse associant des activités criminelles à la cause des « droits de l'Homme. ». Son soutien, ainsi que celui des gouvernements britannique et européens envers Amnesty International, visent uniquement à renforcer l’opacité de ce système.



Les dirigeants d’Amnesty International

La direction d'Amnesty International en dit long également sur son véritable programme. Suzanne Nossel, directrice exécutive d'Amnesty International USA, par exemple, est venue  directement du Département d'Etat américain – ce mouvement contredisant tout à fait,  une fois encore, les allégations d'Amnesty International d'être « indépendante » des gouvernements et des entreprises. Nossel a continué de promouvoir la politique étrangère américaine, mais simplement derrière un podium avec un nouveau logo, celui d'Amnesty International. Le site d'Amnesty International mentionne spécifiquement le rôle de Nossel derrière les résolutions onusiennes soutenues par le Département d'Etat américain et concernant l'Iran, la Syrie, la Libye et la Côte d'Ivoire.

Image : les mêmes mensonges mais un podium différent. Suzanne Nossel, antérieurement au Département d'Etat américain, est aujourd'hui directrice exécutive d'Amnesty International USA. Sa fonction principale est restée la même, à savoir travestir les aspirations des compagnies financières en vue d’une hégémonie mondiale en « plaidoyers pour les droits de l'Homme ».

Il a été largement démontré comment ces aspirations s’appuyaient sur un plan de plusieurs dizaines d'années, mis au point par les potentats de la finance mondiale, dans le but de diviser, de détruire et de piller ces pays qui sont considérés comme des obstacles à l'hégémonie  américaine. Dans le cas de la Syrie en particulier, il a été révélé que l'actuelle « catastrophe humanitaire » remontait à une conspiration malveillante datant de 2007 et révélée par le journaliste du "New Yorker" Seymour Hersh, entre les Etats-Unis, Israël et l'Arabie Saoudite, visant à financer, à armer et à déployer délibérément des extrémistes sectaires pour miner et  renverser le gouvernement syrien, le tout en sachant parfaitement quelle tragédie humaine allait en découler.

Les contributions de Nossel allaient simplement consister, dès lors, à habiller une pure  agression militaire et la poursuite d’une entreprise visant à asseoir une hégémonie à des fins capitalistes en les maquillant sous les traits d’un plaidoyer pour les « droits de l'homme ».

Un coup d'œil sur AmnestyUSA.org révèle que chaque fois qu’un front est pris pour cible par le département d'Etat américain, qui va lui accorder un tout intérêt particulier, comme par hasard, la question figure au même moment parmi les cibles prioritaires d’Amnesty International. Cela inclut des rassemblements et des campagnes initiées par le Département d'Etat américain pour soutenir des groupes d'opposition russes (voyez le cas présent des "Pussy Riot"), les tentatives de compromettre le gouvernement syrien, le renversement du gouvernement du Bélarus, le soutien à la créature de Londres et Wall Street : Aung San Suu Kyi du Myanmar (encore appelée « Birmanie » par Aung San Suu Kyi elle-même, conformément à l’ancienne nomenclature  impériale britannique).



Amnesty International trahit les véritables missions de la défense des droits humains

Il est vrai qu’Amnesty se consacre aussi à des questions gênantes pour la politique étrangère américaine, reléguant ces cas vers la toute fin de ses pages Web ou les dissimulant en pages intérieures de ses rapports. De même, les grands médias tenus par la finance trient soigneusement les informations qu’ils diffusent, valorisant celles qui favorisent leurs projets et minimisant voire faisant silence total sur d’autres informations. Et c'est précisément parce que Amnesty couvre toutes les questions, mais choisit de privilégier celles qui sont  favorables aux intérêts des oligarchies financières que cette organisation est devenue un des plus grands obstacles à une véritable défense des droits humains sur Terre.

Images : Comment on fabrique un courant d’opposition. « Libérez Pussy Riot »... Ironie du sort, la FIDH (Fédération Internationale des Droits de l’Homme) est directement financée par le Département d'Etat américain via le NED, mouvement d’obédience néo-conservatrice, ainsi que par l'Open Society de George Soros. « Russie : Arrêtez les transferts d'armes vers la Syrie ! » … Le Département d'Etat américain souhaite quelque chose ? Soyez certains qu’Amnesty International va organiser des manifestations dans ce sens, et indépendamment de la taille ou de la légitimité desdites manifestations, attendez-vous à voir les grands médias y consacrer leurs manchettes à la Une.

On fait croire aux gens ordinaires que « quelqu'un veille sur » les violations des droits de l'Homme, alors qu'en réalité, Amnesty International et autres organisations du même acabit ne font que manipuler la perception du public de manière sélective sur les questions liées à la violation des droits humains, fabriquant et/ou manipulant un grand nombre de cas dans le but précis de répondre à l'ordre du jour des grandes firmes capitalistes. Ceci peut être vérifié en constatant que des rapports entiers d'Amnesty ou de Human Rights Watch se composent uniquement de « témoignages » (invérifiés) collectés par des groupes d'opposition soutenus par les Etats-Unis.

Dans les rares cas où un rapport contient des références à de véritables pièces à conviction via la photographie, la vidéo ou des documents écrits, comme le rapport 2011 de Human Rights Watch intitulé "Descent into Chaos" (.pdf), des formulations langagières trompeuses y sont intentionnellement incluses au milieu d'un fouillis verbeux, de façon à rendre plus facile une présentation sélective et malhonnête des faits non seulement par les médias traditionnels occidentaux, mais également par une multitude de fausses ONG financées et gérées par les sponsors d’Amnesty International et de Human Rights Watch. Le rapport sur la descente dans le chaos, en ce qui concerne la Thaïlande, a été rapidement et amplement répercuté et manipulé par de fausses ONG financées par le département d'Etat américain, ainsi que par le soi-disant défenseur des droits, Prachatai.

À force de croire, à tort, que des organisations crédibles s’investissent dans la « défense des droits », les gens ne deviennent pas seulement complaisants, ils finissent aussi par négliger leur propre responsabilité à examiner objectivement les violations potentielles et à s’élever contre elles. Le monde de la finance, qui tient les rouages à Wall Street et à Londres, a comblé un vide - qui devrait être occupé par ses plus grands adversaires - en installant, à la place, un immense réseau de manipulateurs qu’il a lui-même créé. Et ainsi, non seulement ces puissances politiques et financières se  sont accordé un laissez-passer pour violer les droits de l'homme à l’échelle mondiale, mais de plus, ils ont réussi à s’appuyer une opposition qu’ils contrôlent pour attaquer leurs adversaires.

Il est clair qu’Amnesty International n'est en aucun cas un « défenseur » des droits de l'Homme, mais plutôt un affront à la défense des droits humains. Il va sans dire que cette organisation devrait être boycottée et mise hors course et, à tout le moins, identifiée comme illégitime et frauduleuse – et ce à tous les niveaux, depuis son financement jusqu’à ses dirigeants corrompus.

Par ailleurs, nous, le peuple, devons nous attaquer aux violations des droits réels de chacun des autres à la racine –  parce que c'est pure folie de croire que ces organisations internationales, dont nous savons qu’elles sont financées par les grands potentats capitalistes, en écho aux sombres projets de  gouvernements qui ne sont guidés que par leurs intérêts particuliers, se préoccuperaient avant tout de la défense de intérêts et de nos droits.

Article original sur mathaba.net


Que peut-on conclure de ce qui précède ?

Prenons un cas récent : la Libye, avec cette agression coloniale immonde qui a conduit à détruire un pays de cinq millions d'habitants, le pays le plus avancé d'Afrique selon les critères tirés du classement de l'IDH (Indice de Développement Humain).

Et pour raser ce pays, lui imposer une campagne de purification ethnique contre ses noirs, campagne toujours en cours, il a fallu l'aide effective de toute une clique d'ONG spécialisées dans la "défense des droits de l'Homme", à commencer par cette succursale libyenne, émanation de la Ligue Internationale des Droits de l'Homme, qui nous a inventé des milliers, puis dizaines de milliers de victimes de l'armée de Kadhafi, ce qui a conduit à cette résolution merdique sur une pseudo protection des civils de Benghazi.

Pour  le reste, tout le monde sait que l'Afrique est la région du monde qui compte le plus d'ONG au mètre carré, le tout pour quel résultat ? Cinquante ans d'aide au développement, cinquante ans de famines, de mal-logement, d'épidémies, de sécheresse croissante, bref, de sous-developpement durable !









De quelque obédience qu'elles soient, ces organisations "humanitaires", qui s'accommodent fort bien de la présence des bandes armées - voyez la Somalie, un des pays les plus "aidés" du monde ! - ne sont là que pour remplacer la domination coloniale des temps anciens par une ingérence tous azimuts qui a conduit ces pays à être des assistés à perpétuité, tout en poursuivant une dépense colossale en armements en tous genres, ce qui est probablement le but recherché par les "humanitaires". L'Afrique a été débarrassée de toutes les guerres coloniales, mais, par ailleurs, elle n'a jamais été autant gangrénée par les guerres de tous calibres. Cherchez l'erreur !

L'erreur ? Le jour où l'argent qui sert à acheter des armes - dont aucune n'est produite en Afrique même - sera mis au service du développement, l'Afrique aura-t-elle encore besoin des ONG ?

La solution ? Pour commencer, instaurer la démocratie pour de vrai - système confédéral (cf. la Confédération helvétique), régime parlementaire, sans président de la République, referendum d'initiative populaire, sur tout le continent -, virer toutes les ONG, tous les missionnaires, tous les marchands de pacotille, fermer toutes les bases militaires étrangères et renvoyer les conseillers étrangers, fusionner l'ensemble des armées africaines sous un commandement unique tout en les transformant en armées populaires - d'appelés - et en finir avec les armées de métier - barbouzardes et putschistes. Ce sera déjà un début. Ensuite, il faudra nouer de vraies relations avec les vrais amis de l'Afrique : l'Asie et l'Amérique latine, dont un des plus importants devrait être l'Inde !



 
N. B.: l'article de T. Cartalucci, à l'instar de tous ceux que l'on trouve sur mathaba.net, voltairenet.org..., fourmille de liens que je vous conseille d'actionner..., toutes sortes de choses qui vous expliquent pourquoi la presse de Grand-Papa est en train de crever, face à la performance de cet outil de démocratie directe et de documentation instantanée - je peux, d'un seul clic, vérifier une information, confronter des points de vue... - qu'est l'Internet !


That article by T. Cartalucci, like those available on mathaba.net, voltairenet.org and others is full of links that you should operateall sorts of things that explain why the "corporate press" (GrandDad's press) is going to die, given the performance of that tool of direct democracy and instant documentation - I can by just one click verify any information, and compare a lot of points of view... - that we have got with the Internet!

dimanche 19 août 2012

Syrie : une histoire sans paroles


Vu sur le site bild.de, il y est question de la Syrie, après un bombardement par les troupes du "tyran Al-Assad" :


Légende : "après le bombardement de la localité Asas près d'Alep, des femmes blessées vont chercher de l'aide dans un hôpital d'urgence." 

Vous voulez que je vous dise ? J'invite les utilisateurs avertis de Photoshop à nettoyer le sang sur ces deux visages... Mais même sans Photoshop, vous pouvez le faire... mentalement. Je veux dire qu'à part les marques rouges, ces deux visages me paraissent étrangement préservés par les soi-disant bombardements. Vous ne trouvez pas ? Ah, tout de même, il y a cette main apparemment ensanglantée au premier plan. Quel dommage que l'on ne voie pas à qui elle appartient !

Pour en revenir aux femmes, va-t-on me faire croire qu'il n'y avait pas plus amoché que ça dans cette localité, après le fameux bombardement ?

On parie combien que ces deux femmes ont été maquillées avec du sang artificiel ou simplement du ketchup ?

Voici un petit travail de retouche qui m'a pris une vingtaine de minutes, et dont je déduis que les visages de ces deux femmes sont loin d'avoir été abîmés par quelque bombardement que ce soit !



By the way, en passant, on apprend par le même Bild qu'un navire de guerre allemand espionne la Syrie au profit de l'Otan et des "opposants".

On comprend mieux, maintenant, les raisons du triple veto russo-chinois.

Autant dire que, pour la mafia occidentale, la guerre de la communication, je veux dire, de la COM, est perdue !

dimanche 29 juillet 2012

Syrie : quand l'internationale barbouzarde tente de sauver ses alliés d'Al Qaeda du désastre


Vous connaissez la nouvelle ? Le président français, François Hollande, vous savez ?, celui qui clamait, il n'y a pas si longtemps : "Le changement, c'est maintenant !", a dû prendre des ordres ou des conseils, ou des injonctions, enfin, semble tout à fait disposé à prolonger la politique étrangère calamiteuse de son prédécesseur au profit d'Al Qaeda, dont les franchises tuent des soldats français en Afghanistan, enlèvent, séquestrent voire tuent des ressortissants français au Mali et au Niger, détiennent un ressortissant français en Somalie, etc.



C'est ce même syndicat barbouzard créé de toutes pièces par les Occidentaux en Afghanistan pour contrer la présence soviétique qui a bénéficié de six mois de bombardements systématiques du territoire libyen afin d'y implanter un régime fantoche et d'y faire hisser le drapeau noir d'AQMI à Benghazi et Tripoli.

Question(s) : les soldats français et, plus généralement, l'ensemble des troupes de l'OTAN combattant actuellement et officiellement les Talibans afghans, alliés d'Al Qaeda dans le reste du monde, savent-ils seulement que leurs propres gouvernants arment et sponsorisent actuellement les barbouzes d'Al Qaeda en Syrie ? (1) Quant aux familles des soldats présents en Afghanistan ainsi que celles de ceux morts - pour rien ! - dans ce pays, ont-elles conscience du double jeu de leurs dirigeants s'agissant d'Al Qaeda et de ses succursales ainsi que de la soi-disant lutte contre le terrorisme international ? Et pour nous en tenir au peuple français, qui s'est récemment décidé pour un changement d'équipe au sommet de l'Etat, a-t-il seulement conscience qu'en matière d'interventionnisme à l'étranger, le changement annoncé par François Hollande n'était qu'une escroquerie ?

Le fait est que la tentative d'éviter un soi-disant bain de sang à Alep brandie par les sponsors internationaux d'Al Qaeda relève de la plus pure imposture, quand on sait que les seuls bains de sang récemment intervenus à Alep l'ont été consécutivement à des attentats à la voiture piégée dont seuls les insurgés sont responsables et qu'ils sont les seuls, du reste, à avoir revendiqués. (2)

Le fait est, donc, que les masques tombent, enfin, à la suite du triple veto sino-russe au Conseil de Sécurité, et que les manoeuvres persistantes visant à instrumentaliser l'ONU rendent les choses on ne peut plus claires : à savoir qu'une internationale maffieuse tente de nous refaire le coup de la Libye et d'un pseudo-soulèvement populaire contre un dictateur ; mais cette fois, il semble que la mayonnaise ait le plus grand mal à prendre.

Dernière interrogation, à l'intention des chrétiens d'Occident : ont-ils seulement conscience que les pseudo-chrétiens placés à la tête des principaux pays occidentaux ont décidé de liquider, après la Palestine, après l'Irak..., ce qui reste de leurs présumés frères, les derniers chrétiens d'Orient et ont-ils - nos Chrétiens occidentaux - seulement une petite idée du mobile qui se cache derrière cette forfaiture ? 

Quand les faux chrétiens d'Occident déploient tous leurs efforts  pour liquider les derniers chrétiens d'Orient !

L'Exode des Chrétiens de la Terre Sainte (= leur éviction de la "Terre Sainte" par des fous de Dieu !)

samedi 7 juillet 2012

Violation du droit international et de la souveraineté d'un État indépendant : François Hollande otage ou complice d'un lobby international ? Chronique d'une déconfiture programmée



Paris, France, July 6th, 2012. Meeting of the so called "Friends of Syria". This is the story of a (new) fake by Aljazeera and Co, after the false set of the supposed fall of Tripoli on August 20th, 2011, staged in Dooha, Qatar. This time we have got a dead Syrian miraculously resurrected in Paris.


Paris, France, 6 juillet 2012. Rencontre des Amis de la Syrie. C'est l'histoire d'un (nouveau) faux fabriqué par Aljazeera and Co, à l'instar de la fausse prise de Tripoli du 20 août 2011, réalisée dans des studios de cinéma depuis Dooha, au Qatar. Cette fois-ci, il s'agit d'un mort syrien, miraculeusement ressuscité à Paris.

Vous voulez que je vous dise ?

Ce premier quinquennat de François Hollande risque aussi d'être son dernier, et en cela, il aura parfaitement marché sur les traces de son prédécesseur, l'agité du bocal qui n'a rien trouvé de plus intelligent que d'arrimer de nouveau la France à l'internationale maffieuse incarnée par l'OTAN, dont Charles de Gaulle l'avait fort opportunément éloignée.

Seulement voilà : Hollande est un velléitaire, et sa première grande bourde fut de se choisir comme ministre des Affaires Étrangères Laurent Fabius, l'homme de la piteuse et criminelle barbouzardise d'Auckland (1985), en Nouvelle-Zélande, contre le navire amiral de l'association Greenpeace.

Mais de cela, nous reparlerons plus en détail ailleurs. Pour l'heure, concentrons-nous sur cette conférence des soi-disant Amis de la Syrie, présidée par François Hollande en ce vendredi 6 juillet 2012.

Voilà que je tombe sur l'information selon laquelle une vidéo de ladite conférence aurait disparu du site de l'Élysée. Et comme les vidéos disparaissent effectivement sans crier gare des sites les hébergeant, j'ai choisi d'effectuer des captures d'écran tirées d'une autre vidéo expliquant le tour de passe-passe élyséen. En clair, il s'agit de la présence, à Paris, en ce début de juillet 2012, d'un activiste syrien qu'on croyait mort et enterré, victime qu'il aurait été de l'infâme régime de Bachar Al-Assad.













  






 Nous avons là un homme tout ce qu'il y a de mort (1), du moins en apparence, et voilà qu'on nous affirme qu'il aurait été présent à Paris, lors de la fameuse conférence des amis du peuple syrien !

Tout ça est bien gentil, allez-vous penser, mais la démonstration ne peut être convaincante que si l'on a des images de cet homme vivant, images dont on puisse certifier qu'elles sont postérieures à celles qui le montrent mort. Ce devrait être le cas des deux images ci-dessous, visiblement captées lors de la fameuse conférence parisienne du 6 juillet 2012.


Source

Et voilà !

Maintenant, comment s'étonner de la vulgarité et de la grossièreté des méthodes pratiquées par ces fameux amis de la Syrie, qu'on a déjà vus à l'oeuvre en Libye, où Al Jazeera, la chaîne des faussaires, n'a pas hésité à fabriquer une fausse prise de Tripoli depuis des studios érigés au Qatar, infligeant à l'ensemble de la presse mondiale une humiliation sans nom.

La question est maintenant celle-ci : par qui les Français sont-ils dirigés ? Par des élus responsables devant le peuple ou par des marionnettes pilotées par une internationale maffieuse ayant ses ramifications ailleurs qu'en France et capable des plus grossières manipulations, le tout avec la complicité active de dirigeants censés tirer leur légitimité des élections présidentielle et législatives de mai et juin derniers ?

Par ailleurs, si la situation de la population syrienne était aussi épouvantable qu'on le dit, pourquoi diable Aljazeera and Co auraient-ils besoin de la contrefaire, là où il suffirait de montrer la réalité des faits, sinon parce que, comme en Libye, l'essentiel des faits qui nous sont rapportés par les grands médias sont faux. Nous en avons ici une preuve éclatante, ainsi que celle de la duplicité de ces pseudo "Amis de la Syrie". (2)

En tout cas, pour dissiper les doutes qui ne vont pas manquer de surgir parmi la population française, François Hollande et son homme de main Laurent Fabius vont devoir s'expliquer, et de toute urgence !




(1) Précision utile : l'homme en question semble être particulièrement adroit en matière d'informations contrefaites. Voir la vidéo...


(2) Au fait, nos prétendus "amis de la Syrie" vont-ils instamment demander à Israël de libérer le Golan syrien occupé en violation des règles du Droit international ? Ce serait en tout cas une preuve de leur crédibilité. Quant aux Syriens qui croient en la sincérité de cette mafia internationale, c'est peu de dire qu'ils nous font de la peine !