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dimanche 29 juillet 2012

Syrie : quand l'internationale barbouzarde tente de sauver ses alliés d'Al Qaeda du désastre


Vous connaissez la nouvelle ? Le président français, François Hollande, vous savez ?, celui qui clamait, il n'y a pas si longtemps : "Le changement, c'est maintenant !", a dû prendre des ordres ou des conseils, ou des injonctions, enfin, semble tout à fait disposé à prolonger la politique étrangère calamiteuse de son prédécesseur au profit d'Al Qaeda, dont les franchises tuent des soldats français en Afghanistan, enlèvent, séquestrent voire tuent des ressortissants français au Mali et au Niger, détiennent un ressortissant français en Somalie, etc.



C'est ce même syndicat barbouzard créé de toutes pièces par les Occidentaux en Afghanistan pour contrer la présence soviétique qui a bénéficié de six mois de bombardements systématiques du territoire libyen afin d'y implanter un régime fantoche et d'y faire hisser le drapeau noir d'AQMI à Benghazi et Tripoli.

Question(s) : les soldats français et, plus généralement, l'ensemble des troupes de l'OTAN combattant actuellement et officiellement les Talibans afghans, alliés d'Al Qaeda dans le reste du monde, savent-ils seulement que leurs propres gouvernants arment et sponsorisent actuellement les barbouzes d'Al Qaeda en Syrie ? (1) Quant aux familles des soldats présents en Afghanistan ainsi que celles de ceux morts - pour rien ! - dans ce pays, ont-elles conscience du double jeu de leurs dirigeants s'agissant d'Al Qaeda et de ses succursales ainsi que de la soi-disant lutte contre le terrorisme international ? Et pour nous en tenir au peuple français, qui s'est récemment décidé pour un changement d'équipe au sommet de l'Etat, a-t-il seulement conscience qu'en matière d'interventionnisme à l'étranger, le changement annoncé par François Hollande n'était qu'une escroquerie ?

Le fait est que la tentative d'éviter un soi-disant bain de sang à Alep brandie par les sponsors internationaux d'Al Qaeda relève de la plus pure imposture, quand on sait que les seuls bains de sang récemment intervenus à Alep l'ont été consécutivement à des attentats à la voiture piégée dont seuls les insurgés sont responsables et qu'ils sont les seuls, du reste, à avoir revendiqués. (2)

Le fait est, donc, que les masques tombent, enfin, à la suite du triple veto sino-russe au Conseil de Sécurité, et que les manoeuvres persistantes visant à instrumentaliser l'ONU rendent les choses on ne peut plus claires : à savoir qu'une internationale maffieuse tente de nous refaire le coup de la Libye et d'un pseudo-soulèvement populaire contre un dictateur ; mais cette fois, il semble que la mayonnaise ait le plus grand mal à prendre.

Dernière interrogation, à l'intention des chrétiens d'Occident : ont-ils seulement conscience que les pseudo-chrétiens placés à la tête des principaux pays occidentaux ont décidé de liquider, après la Palestine, après l'Irak..., ce qui reste de leurs présumés frères, les derniers chrétiens d'Orient et ont-ils - nos Chrétiens occidentaux - seulement une petite idée du mobile qui se cache derrière cette forfaiture ? 

Quand les faux chrétiens d'Occident déploient tous leurs efforts  pour liquider les derniers chrétiens d'Orient !

L'Exode des Chrétiens de la Terre Sainte (= leur éviction de la "Terre Sainte" par des fous de Dieu !)

samedi 7 juillet 2012

Violation du droit international et de la souveraineté d'un État indépendant : François Hollande otage ou complice d'un lobby international ? Chronique d'une déconfiture programmée



Paris, France, July 6th, 2012. Meeting of the so called "Friends of Syria". This is the story of a (new) fake by Aljazeera and Co, after the false set of the supposed fall of Tripoli on August 20th, 2011, staged in Dooha, Qatar. This time we have got a dead Syrian miraculously resurrected in Paris.


Paris, France, 6 juillet 2012. Rencontre des Amis de la Syrie. C'est l'histoire d'un (nouveau) faux fabriqué par Aljazeera and Co, à l'instar de la fausse prise de Tripoli du 20 août 2011, réalisée dans des studios de cinéma depuis Dooha, au Qatar. Cette fois-ci, il s'agit d'un mort syrien, miraculeusement ressuscité à Paris.

Vous voulez que je vous dise ?

Ce premier quinquennat de François Hollande risque aussi d'être son dernier, et en cela, il aura parfaitement marché sur les traces de son prédécesseur, l'agité du bocal qui n'a rien trouvé de plus intelligent que d'arrimer de nouveau la France à l'internationale maffieuse incarnée par l'OTAN, dont Charles de Gaulle l'avait fort opportunément éloignée.

Seulement voilà : Hollande est un velléitaire, et sa première grande bourde fut de se choisir comme ministre des Affaires Étrangères Laurent Fabius, l'homme de la piteuse et criminelle barbouzardise d'Auckland (1985), en Nouvelle-Zélande, contre le navire amiral de l'association Greenpeace.

Mais de cela, nous reparlerons plus en détail ailleurs. Pour l'heure, concentrons-nous sur cette conférence des soi-disant Amis de la Syrie, présidée par François Hollande en ce vendredi 6 juillet 2012.

Voilà que je tombe sur l'information selon laquelle une vidéo de ladite conférence aurait disparu du site de l'Élysée. Et comme les vidéos disparaissent effectivement sans crier gare des sites les hébergeant, j'ai choisi d'effectuer des captures d'écran tirées d'une autre vidéo expliquant le tour de passe-passe élyséen. En clair, il s'agit de la présence, à Paris, en ce début de juillet 2012, d'un activiste syrien qu'on croyait mort et enterré, victime qu'il aurait été de l'infâme régime de Bachar Al-Assad.













  






 Nous avons là un homme tout ce qu'il y a de mort (1), du moins en apparence, et voilà qu'on nous affirme qu'il aurait été présent à Paris, lors de la fameuse conférence des amis du peuple syrien !

Tout ça est bien gentil, allez-vous penser, mais la démonstration ne peut être convaincante que si l'on a des images de cet homme vivant, images dont on puisse certifier qu'elles sont postérieures à celles qui le montrent mort. Ce devrait être le cas des deux images ci-dessous, visiblement captées lors de la fameuse conférence parisienne du 6 juillet 2012.


Source

Et voilà !

Maintenant, comment s'étonner de la vulgarité et de la grossièreté des méthodes pratiquées par ces fameux amis de la Syrie, qu'on a déjà vus à l'oeuvre en Libye, où Al Jazeera, la chaîne des faussaires, n'a pas hésité à fabriquer une fausse prise de Tripoli depuis des studios érigés au Qatar, infligeant à l'ensemble de la presse mondiale une humiliation sans nom.

La question est maintenant celle-ci : par qui les Français sont-ils dirigés ? Par des élus responsables devant le peuple ou par des marionnettes pilotées par une internationale maffieuse ayant ses ramifications ailleurs qu'en France et capable des plus grossières manipulations, le tout avec la complicité active de dirigeants censés tirer leur légitimité des élections présidentielle et législatives de mai et juin derniers ?

Par ailleurs, si la situation de la population syrienne était aussi épouvantable qu'on le dit, pourquoi diable Aljazeera and Co auraient-ils besoin de la contrefaire, là où il suffirait de montrer la réalité des faits, sinon parce que, comme en Libye, l'essentiel des faits qui nous sont rapportés par les grands médias sont faux. Nous en avons ici une preuve éclatante, ainsi que celle de la duplicité de ces pseudo "Amis de la Syrie". (2)

En tout cas, pour dissiper les doutes qui ne vont pas manquer de surgir parmi la population française, François Hollande et son homme de main Laurent Fabius vont devoir s'expliquer, et de toute urgence !




(1) Précision utile : l'homme en question semble être particulièrement adroit en matière d'informations contrefaites. Voir la vidéo...


(2) Au fait, nos prétendus "amis de la Syrie" vont-ils instamment demander à Israël de libérer le Golan syrien occupé en violation des règles du Droit international ? Ce serait en tout cas une preuve de leur crédibilité. Quant aux Syriens qui croient en la sincérité de cette mafia internationale, c'est peu de dire qu'ils nous font de la peine !


lundi 2 juillet 2012

Massaker in Syrien: wenn die Weltpresse luegt. Massacres en Syrie : la grande presse prise en flagrant délit de désinformation


Der kommende Artikel wurde von der Webseite der FAZ (Frankfurter Allgemeine Zeitung) entnommen und ins Französische vollkommen übersetzt. Link zur Originalversion liegt darunter. 

Ce qui suit est un article tiré du site de la FAZ que j'ai traduit en français. Le lien vers l'article originel figure ci-dessous.

Il s'agit de massacres survenus aux abords de la ville de Houla, et que l'ensemble des médias occidentaux ont immédiatement attribués aux forces gouvernementales, alors qu'un examen plus minutieux aurait dû les inciter à plus de retenue dans leurs accusations péremptoires, ainsi qu'il ressort du récit de R. Herman. Une petite leçon de choses et de déontologie, à destination de nos bonimenteurs médiatiques français. Mention spéciale à France Info, France Inter, France Culture, Radio France Internationale, France 24, France Intox...


Abermals Massaker in Syrien
 
07.06.2012 ·  In Syrien sind bei einem abermaligen Massaker nahe Hama mindestens 55 Menschen getötet worden. UN-Beobachter, die den Tatort aufsuchen wollten, wurden beschossen.

Von RAINER HERMANN, DAMASKUS

Bei einem Massaker im Dorf Qubair nahe Hama sind in Syrien mindestens 55 Menschen getötet worden. Aktivisten der Lokalen Koordinierungskomitees gaben die Zahl der Todesopfer sogar mit mindestens 86 an. 18 der Toten sind Frauen und Kinder. Viele sind in ihren Häusern verbrannt oder wurden mit Messern erstochen. Die meisten Toten gehörten einer Familie an. Während die Rebellen regimetreue Milizen der Bluttat bezichtigten, machte das staatliche Fernsehen eine „Terrorgruppe“ für das Massaker verantwortlich.

Die in Hama stationierten UN-Beobachter wollten am Donnerstag den Ort Qubair besuchen. Die UN-Beobachter teilten mit, die syrische Armee verhindere ihren Zugang nach Qubair. Der Leiter der UN-Beobachter, General Robert Mood, sagte, auch Zivilisten hielten die Beobachter auf. Deren Sicherheit sei nicht gewährleistet, sollten sie das Dorf betreten, werde ihnen erklärt. Später sagte UN-Generalsekretär Ban Ki-Moon vor der UN-Vollversammlung in New York, die Beobachter seien beschossen worden. Er nannte das Massaker „schockierend und widerwärtig“ und sagte, Syriens Präsident Baschar al Assad habe „jede Legitimität verloren“.

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De nouveaux massacres en Syrie

06/07/2012 · En Syrie, à l'occasion de nouveaux massacres près de Hama, au moins 55 personnes ont été tuées. Des observateurs de l'ONU, qui voulaient visiter les lieux du crime,  ont été pris pour cibles.

Lors d'un massacre survenu dans le village de Qubair, près de Hama en Syrie, au moins 55 personnes ont été tuées. Des militants du comité local de coordination  ont même fait état d'au moins 86 morts. 18 des victimes sont des femmes et des enfants. Beaucoup ont été brûlées dans leurs maisons ou ont été poignardées avec des couteaux. La plupart des morts étaient des membres d'une même famille. Alors que les rebelles ont accusé les milices du régime des assassinats, la télévision d'État a rendu un « groupe terroriste » responsable de la tuerie.

Les observateurs de l'ONU stationnés à Hama ont voulu visiter Qubair ce jeudi. Les observateurs de l'ONU ont déclaré que l'armée syrienne les avait empêchés d'accéder à cette localité. Le chef des observateurs de l'ONU, le général Robert Mood, a déclaré que des civils ont entravé l'action des observateurs. Leur sécurité ne serait pas garantie au cas où ils pénétreraient dans le village, leur a-t-on déclaré. Plus tard, le Secrétaire général Ban Ki-Moon, a déclaré lors de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York, que les observateurs s'étaient fait tirer dessus. Il a qualifié le massacre de "choquant et dégoûtant" et a déclaré que le président syrien Bachar al-Assad avait "perdu toute légitimité."

Ce massacre ressemble d'emblée à celui intervenu à Hula lors le 25 Mai, et au cours duquel 108 personnes ont été tuées. Des personnalités de l'opposition syriens originaires de la région ont pu reconstituer tout récemment le déroulement des faits, en se basant sur des témoignages crédibles. Leurs conclusions contredisent les affirmations des rebelles, selon lesquels ce sont les milices proches du régime, les Schabiha, qui avaient fait le coup, en bénéficiant de la protection de l'armée régulière. Dès lors que des opposants réfractaires à toute violence avaient été assassinés ou à tout le moins menacés, les témoins avaient exigé de bénéficier de l'anonymat.

Le massacre de Houla a eu lieu après la prière du vendredi. Les combats ont démarré lorsque des insurgés sunnites ont attaqué les trois postes de contrôle routier de l'armée syrienne situés autour de Houla. Ces points de contrôle sont censés protéger les villages alaouites situés à proximité de Houla contre des attaques, Houla étant une ville majoritairement sunnite.

Les rebelles obtiennent 300 millions de dollars de fonds

Un poste de contrôle routier a appelé l'armée en renfort, la caserne étant à 1500 mètres de distance. Ces renforts sont rapidement intervenus. Lors de la bataille de Houla, qui a dû durer 90 minutes, des dizaines de soldats et de rebelles ont été tués. Pendant les combats, les trois villages de Houla ont été coupés du monde extérieur.

Selon les témoins, c'est à ce moment que le massacre doit avoir eu lieu. Les victimes ont été presque exclusivement des familles de la minorité chiite et alaouite de Houla, la ville étant à plus de quatre vingt dix pour cent sunnite. C'est ainsi que plusieurs dizaines de membres d'une famille ont été abattus, cette famille s'étant convertie au cours des dernières années du sunnisme vers le chiisme. Ont été tués également des membres de la famille alaouite Shomaliya et ceux de la famille d'un membre sunnite du parlement, qui était traité de collaborateur. Immédiatement après le massacre, les auteurs auraient filmé leurs victimes, les faisant passer pour des victimes sunnites et diffusant les vidéos via l'Internet. Des représentants du gouvernement syrien ont, certes, confirmé cette version, tout en attirant l'attention sur le fait que le gouvernement avait décidé de ne pas parler publiquement d'Alaouites et de Sunnites. Le président Bachar al-Assad est un membre des Alaouites, l'opposition est principalement soutenue par la majorité sunnite.

Pendant ce temps, des hommes d'affaires syriens expatriés dans la capitale Doha, au Qatar, se sont réunis pour financer l'opposition syrienne et les rebelles, grâce à un fonds de 300 millions de dollars. Mustafa Sabbagh, président du Forum d'affaires syrien en exil, est à l'origine de la création de ce Fonds. Wael Merza, Secrétaire général du Conseil national de l'opposition syrienne, a déclaré que la moitié du montant avait été dépensée et en partie dirigée vers l'armée libre  syrienne.

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a, quant à lui, proposé  la convocation d'une conférence internationale sur la Syrie, où devaient participer tous les pays devraient participer susceptibles d'avoir un impact sur les acteurs syriens. Le cercle doit aller au-delà des pays qui se sont réunis dans le cadre des "amis de la Syrie", a déclaré M. Lavrov. Parce que ce groupe ne soutient que les « exigences radicales » du Conseil national syrien. Plus précisément, M. Lavrov a réclamé la participation non seulement des membres du Conseil de sécurité de l'ONU, mais également l'UE et la Ligue arabe ainsi que la Turquie et l'Iran. L'objectif devrait être de mettre en œuvre le plan Annan de manière "correcte et non ambiguë".