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mardi 13 mars 2012

Un secret de Polichinelle : la Révolution d'Octobre 1917 est une création des banquiers de Wall Street. About an open secret: how Wall Street banquers sponsored the Russian Oktober Revolution!


L'homme se fait appeler « Brother Nathanael (Kapner) » et serait né de deux parents juifs qui l’ont élevé - en tout cas tenté de l’élever - dans le judaisme, religion à laquelle il s’est très vite senti réfractaire, comme il le raconte lui-même (Why I left Judaism/Pourquoi j’ai tourné le dos au judaisme). Nathanael Kapner est, donc, ce qu’on appelle en langage savant un apostat. Et un apostat qui voue à sa religion d’origine une haine féroce, à en juger par ses écrits, auxquels  le premier amendement de la Constitution américaine (heureux Américains, n’est-ce pas, cher Dieudonné ?) lui garantit la liberté la plus totale.

Et que dit Kapner de ses ex-coreligionnaires ? Que ce sont des imposteurs. Tiens, tiens ! C’est précisément le reproche structurel que le judaïsme fait au christianisme, leur messie étant toujours espéré !

Mais il y a autre chose : toute une litanie de crimes qui seraient à mettre au passif direct des Juifs.

Comme par exemple ?

Là, j’avoue que je suis tombé de ma chaise, en apprenant que celui que je prenais pour le prototype même de  l’incorruptible, face au criminel majuscule que fut Staline - je veux parler de Trotsky - n’était rien d’autre qu’une taupe manipulée par des banquiers (juifs) de Wall Street. Oui madame, oui monsieur ! Et encore ne s’agit-il ici non pas d’un scoop révélé par Kapner mais de résultats de travaux de l’historien britannique Anthony Sutton. La révolution d’octobre n’aurait donc été que la création d’une oligarchie financière basée à Wall Street, New York !


The man who is calling himself "Brother Nathanael (Kapner)" was allegedly born of two Jewish parents who raised him - at least tried to raise him - in Judaism, a religion to which he soon felt refractory, as he states himself ("Why I left  judaism”).

Nathanael Kapner is, therefore, what in scientific language is called an apostate. And that very apostate did to his original religion a fierce hatred, as we can judge by his writings that the First Amendment of the U.S. Constitution lets him states in a completely free manner.

But what does Kapner explain about his former coreligionists? That they are impostors. How funny! That is precisely the structural criticism that Judaism directs at Christianity, the former being still waiting for the “true”  Messiah!

But there is something else: a litany of crimes that should have been committed by Jews.

Such as?

And here I must admit that I fell off my chair, discovering that the man I always considered as the absolute incorruptible soul beside that absolute devil and criminal named Stalin, I mean Trotsky, was nobody else but a puppy manipulated by Jewish bankers of Wall Street. Yes ma'am, yes sir!

And to be honest, that very scoop has not been revealed by Kapner but is the result of the research of the British historian Anthony Sutton. We must also admit that the Russian “October Revolution” has been nothing but a creation of the financial oligarchy based on Wall StreetNew York!



An international mafia, lawless, and capable to combine what people thought incompatible: the purest capitalism on the one hand, and what was believed to be the very substance of the proletarian revolution, on the other.

That revolution was a sham, built on one of the most heinous murder of modern times: that of the Romanov family.

And now guess why Sutton's book has never been a bestseller! You know what? I, you, all of us must absolutely read Sutton's work, available (in full text) thanks to the Internet.

And here we have got Sutton's foreword to his essay: Wall Street and the Bolshevik revolution.

Since the early 1920s, numerous pamphlets and articles, even a few books, have sought to forge a link between "international bankers" and "Bolshevik revolutionaries." Rarely have these attempts been supported by hard evidence, and never have such attempts been argued within the framework of a scientific methodology. Indeed, some of the "evidence" used in these efforts has been fraudulent, some has been irrelevant, much cannot be checked. Examination of the topic by academic writers has been studiously avoided; probably because the hypothesis offends the neat dichotomy of capitalists versus Communists (and everyone knows, of course, that these are bitter enemies). Moreover, because a great deal that has been written borders on the absurd, a sound academic reputation could easily be wrecked on the shoals of ridicule. Reason enough to avoid the topic.

Fortunately, the State Department Decimal File, particularly the 861.00 section, contains extensive documentation on the hypothesized link. When the evidence in these official papers is merged with nonofficial evidence from biographies, personal papers, and conventional histories, a truly fascinating story emerges.

We find there was a link between some New York international bankers and many revolutionaries, including Bolsheviks. These banking gentlemen — who are here identified — had a financial stake in, and were rooting for, the success of the Bolshevik Revolution.

Who, why — and for how much — is the story in this book.

Une mafia internationale, sans foi ni loi, capable d'associer ce qu'on croyait incompatible : le capitalisme le plus pur, d'une part, et ce qu'on prenait pour la substantifique moelle de la révolution prolétarienne, d'autre part.

Cette révolution n'était qu'une imposture, bâtie sur un meurtre des plus ignobles : celui de la famille Romanov.

Je vous laisse deviner pourquoi le bouquin de Sutton n'a jamais été un bestseller !

Vous savez quoi ? Je, vous, nous tous devons lire le bouquin de Sutton, que l'on peut consulter intégralement dans sa version originale ici...

Je vous ai traduit, ci-dessous, la préface de Anthony Sutton à l'ouvrage : Wall Street et la révolution bolchevique.

Depuis les années 1920, de nombreuses brochures et articles, et même quelques livres, ont cherché à établir un lien entre «banquiers internationaux» et «révolutionnaires bolcheviques." Rarement ces tentatives ont été confortées par des preuves tangibles, pas plus qu’elles ne se sont fondées sur une méthodologie scientifique. En effet, une partie des éléments de « preuve » utilisés dans ces productions se sont avérés frauduleux, d’autres sans grande importance, beaucoup d’autres ne pouvant pas être vérifiés. Tout examen de la question par des universitaires patentés a été soigneusement évité, probablement parce que la thèse en question vient en contradiction totale de l’opposition classique entre  capitalistes et  communistes (et tout le monde sait, naturellement, que les uns et les autres sont des ennemis acharnés). En outre, parce qu'une grande partie de ce qui a été écrit frise   l'absurde, une solide réputation universitaire pouvait être aisément ruinée et sombrer dans le ridicule. Une raison suffisante pour éviter d’aborder le sujet.


Fort heureusement, le State Department Decimal File (Archives Nationales), en particulier la section 861.00, contient une documentation complète sur la question controversée. Dès lors que des éléments de preuve fournis par ces documents officiels sont confrontés avec des preuves non officielles tirées de biographies ou d’archives privées et de récits ordinaires, alors on voit poindre une réalité histoirique vraiment fascinante.

Nous découvrons alors qu’il y avait bien un lien entre certains banquiers internationaux de la place de New York et de nombreux révolutionnaires, y compris des bolcheviks. Ces messieurs de la banque – bien identifiés ici – avaient un intérêt financier dans, et ont été à la source de la réussite de la révolution bolchevique.

Qui, pourquoi – et pour quel bénéfice –, telle est l'histoire de ce livre.



Reconnaissez tout de même que la collusion entre les premiers "communistes" et la banque new-yorkaise a de quoi stupéfier... les naïfs que nous sommes, ou que nous avons été, avant que les écailles nous tombent des yeux. Car, au fond, tout s'explique !

Vous comprenez maintenant pourquoi ils ont inventé ce qu'ils appellent la "shoah" ou encore l'"holocauste", cette surenchère à la victimisation ? Ça s'appelle un contre-feu ! Des crimes et des génocides ont été commis durant la Seconde Guerre mondiale et ne sauraient être détachés de cette dernière, pas plus qu'ils ne sauraient être réservés à une seule catégorie d'individus, contrairement à ce que les deux vocables susmentionnés le suggèrent. De fait, la thèse dite de la "Uniqueness", consistant à isoler un groupe particulier parmi toutes les victimes d'Hitler, est une escroquerie historique, car utilisée comme un paravent pour camoufler moult choses pas toujours avouables. J'invite ceux que ça intéresse à consulter le pamphlet de Roger Garaudy sur "Les mythes fondateurs de la politique israélienne". En cherchant bien, on le trouve ici ou là, sur l'Internet.

Pour l'heure, ils s'essaient encore à instrumentaliser les lois liberticides (voyez Dieudonné, Faurisson ou Garaudy), mais grâce à l'Internet, cette guerre-là, ils l'ont déjà perdue !

Tout de même : Trotsky et Lénine, des valets de la banque new-yorkaise ! On tombe de haut ! Et s'il n'y avait que Trotsky et Lénine !

Ci-dessous : extrait du prologue des Mythes fondateurs de la politique israélienne.




We must frankly recognize that the collusion between the original "communists" and the New Yorker bankers has something amazing ... for the naive souls that we are, or were, before scales fall from our eyes! Because in reality, everything has an explanation!

And now you understand why they invented what they call "Shoah" or "Holocaust", trying to put themselves at the top ranking of the victims of barbarity, in order to make them innocent of everything. Of course! That is what people call a backfire! Crimes and genocides have been committed during World War II, and cannot be detached from that war, being a consequence of it, nor should they be reserved for one single category of individuals, contrary to what the two words above might suggest. In fact, the thesis known as the "Uniqueness", consisting in isolating a particular group among all the victims of Hitler is a historical fraud because it is used as a veil with the purpose to hide a lot of not always acknowledgeable things. I invite those interested in this issue to look for Roger Garaudy's (important French philosopher) pamphlet on "The Founding Myths of Israel's policy". If you search closely, you should manage to find it here and there on the Internet.

Anyway, discovering Lenin and Trotsky profiling themselves as lackeys of the New Yorker bankers let you absolutely speechless! And if that were only Trotsky and Lenin!




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